![]() | aux femmes (Jean Ferrat)Pour cet instant de trouble étrange Où l'on entend rire les anges Avant même de se toucher Pour cette robe que l'on frôle Ce châle qui tend vos épaules En haut des marches d'escalier Je vous aime Pour la lampe déjà éteinte Et la première de vos plaintes La porte à peine refermée Pour vos dessous qui s'éparpillent Comme des grappes de jonquilles Aux quatre coins du lit semées Pour vos yeux de vague mourante Et ce désir qui s'impatiente Aux pointes de vos seins levées Je vous aime Pour vos toisons de ronces douces Qui me retiennent, me repoussent Quand mes lèvres vont s'y noyer Pour vos paroles, démesures La source, le chant, la blessure De votre corps écartelé Pour vos reins de houle profonde Pour ce plaisir qui vous inonde En long sanglots inachevés Je vous aime Jean Ferrat | aux femmes (Jean Ferrat) (E) Pour cet instant de trouble étrange Où l'on entend rire les anges Avant même de se toucher Pour cette robe que l'on frôle Ce châle qui tend vos épaules En haut des marches d'escalier ... |
![]() | ma petite entreprise (Alain Bashung)Ma petite entreprise ne connaît pas la crise Épanouie elle exhibe des trésors satinés Dorés à souhait J'ordonne une expertise mais la vérité m'épuise Inlassablement elle se dévoile Et mes doigts de palper Palper là cet épiderme Qui fait que je me dresse Qui fait que je bosse Le lundi Le mardi Le mercredi Le jeudi Le vendredi De l'aube à l'aube Une partie de la matinée Et les vacances Abstinence Alain Bashung | ma petite entreprise (Alain Bashung) (E) Ma petite entreprise ne connaît pas la crise Épanouie elle exhibe des trésors satinés Dorés à souhait J'ordonne une expertise mais la vérité m'épuise Inlassab ... |
![]() | On nous laisse entrevoirMadame ... Couvrez ce sein, que je ne saurais voir. Par de pareils objets les âmes sont blessées, Et cela fait venir de coupables pensées Moliere (Tartuffe) | On nous laisse entrevoir (E) Madame ... Couvrez ce sein, que je ne saurais voir. Par de pareils objets les âmes sont blessées, Et cela fait venir de coupables pensées Moliere (Tartuffe) ... |
![]() |
![]() | enmenez moiemmène moi au paradis de la jouissance et du desir donne moi de la magie de la passion et du plaisir j'ai besoin de tes caresses dessinant mes contours en manque de tendresse j'ai envie de sentir la chaleur de ton corps contre moi devore ma peau avec de tendres baisers dis moi tout bas tes plus folles pensées aime moi sans retenue fais de moi une deesse entre les draps toute nue comblez moi de tes prouesses J'ai envie de toi ! ... maintenant ! enmenez moi au paradis de la jouissance et du desir donnez moi de la magie de la passion et du plaisir j'ai besoin de vos caresses dessinant mes contours en manque de tendresse j'ai envie de sentir la chaleur de votre corps contre moi devorez ma peau avec de tendres baisers dites moi tout bas vos plus folles pensées aimez moi sans retenue faites de moi une deesse entre les draps toute nue comblez moi de vos prouesses J'ai envie de vous ! ... maintenant ! | enmenez moi (E) emmène moi au paradis de la jouissance et du desir donne moi de la magie de la passion et du plaisir j'ai besoin de tes caresses dessinant mes contours en manque de tendresse j'ai envie de sentir la chaleur de ton ... |
![]() | murmure (Arthémisia)Vous me caressez le cou de cet air doux, Vous me murmurez des mots fous Vous faites voler mes cheveux, Vous me poussez à bout. Je tremble de partout Vous répandez votre désir de voyou, Vous réchauffez mon corps debout Allons tester ça entre nous ! … maintenant ! Arthémisia | murmure (Arthémisia) (E) Vous me caressez le cou de cet air doux, Vous me murmurez des mots fous Vous faites voler mes cheveux, Vous me poussez à bout. Je tremble de partout Vous répandez votre désir de voyou, Vous r ... |
![]() | murmure (Arthémisia)Tu caresses mon cou de cet air doux, Tu me murmures des mots fous Tu fais voler mes cheveux, Tu me pousses à bout. Je tremble de partout Tu répands ton désir de voyou, Tu réchauffes mon corps debout Allons tester ça entre nous ! … maintenant ! Arthémisia | murmure (Arthémisia) (E) Tu caresses mon cou de cet air doux, Tu me murmures des mots fous Tu fais voler mes cheveux, Tu me pousses à bout. Je tremble de partout Tu répands ton désir de voyou, Tu réchauffes mo ... |
![]() | consentanteTu fais tomber ma robe qui glisse consentante, offrant mon corps de femme aux braises alanguies, Parant mes deux seins lourds d’ombres douces, mourantes, ocres rouges sanguines, trouble appel dans la nuit. Ma langue se fait saillie de mes lèvres entrouvertes, d’un désir si intense appuyé, infini, Amenant à toi, ma chair nue, découverte, balayée par un vent brulant d’Abyssinie. Éclairé des étoiles sublimant cet instant, Mon corps se fait dunes, courbures incendiaires, Vagues de sable chaud, oasis brulant. Sous tes doigts pénétrants mes humides frontières. Devenue faible proie, je glisse dans l’ultime, tenaillée de cette faim d’appétence animale, Buvant au creux du corps, des replis de l’intime, L’oued libérateur, femelle de mon mâle. | consentante (E) Tu fais tomber ma robe qui glisse consentante, offrant mon corps de femme aux braises alanguies, Parant mes deux seins lourds d’ombres douces, mourantes, ocres rouges sanguines, trouble appel dans la nuit. Ma langue ... |
![]() | J’aimeBaise mes seins, Vois comme ils se gonflent ! Ne me laisse pas comme ça. Je te sens dur contre mes fesses Tu me rend folle. Sens comme je mouille… Je suis toute chaude ! Je suis toute prête Viens ! dépêche-toi, ... Oui ! | J’aime (E) Baise mes seins, Vois comme ils se gonflent ! Ne me laisse pas comme ça. Je te sens dur contre mes fesses Tu me rend folle. Sens comme je mouille… Je suis toute chaude ! Je suis toute prête ... |