![]() | ma saveur (Oscar Wilde)Je baiserai ta bouche, y trouvant ma saveur, Je saisirai la souche de mon désir fébrile Pour écarter les lèvres pleines de saveur En y laissant la sève d'un plaisir érectile. Pour que tes yeux se plissent, que ton regard se trouble, Oscar Wilde - Salomé | ma saveur (Oscar Wilde) (E) Je baiserai ta bouche, y trouvant ma saveur, Je saisirai la souche de mon désir fébrile Pour écarter les lèvres pleines de saveur En y laissant la sève d'un plaisir érectile. Pou ... |
![]() | cette bouche joueuse, pulpeuse (Deslys)Quelle est cette bouche Qui me touche, M'inspire et m'aspire? Quelle est cette bouche Qui se mèle, S'emmèle et s'entremèle? La tienne se veut joueuse, pulpeuse, Juteuse et dévoreuse, La curieuse. Elle me butine, me cyprine, Me caline et me domine, La coquine. Elle me caresse, me fesse, Me transperce et me dresse, L'ogresse. La mienne se veut rieuse, lieuse, Suceuse et avaleuse, L'allumeuse. Elle te taquine, te rumine, Te mine et t'enracine, La féline. Elle te redresse, t'agresse, Te presse et te renverse, La diablesse. Bouche ma bouche de ta bouche, Que mon plaisir soupire, Mon amant bien aimant. Deslys | cette bouche joueuse, pulpeuse (Deslys) (E) Quelle est cette bouche Qui me touche, M'inspire et m'aspire? Quelle est cette bouche Qui se mèle, S'emmèle et s'entremèle? La tienne se veut joueuse, pulpeuse, Juteuse et dévoreuse, La curi ... |
![]() | Ne me laisse pas comme çaNe me laisse pas comme ça ! Vois comme mes seins se gonflent ! Je sens ton sexe contre mes fesses ! Ca me rend folle ! Tu sens comme je mouille… Caresse mes seins ! Palpe les ! On ne peut en rester là ! Ecoute moi ! J’ai envie d 'un sexe d’homme, j’ai envie d'être pénètrée. Tu es chaud et bien dur ! Viens vite, … Je suis toute chaude ! Viens ! dépêche-toi, je suis prête Oui ! ... Oh Oui ! | Ne me laisse pas comme ça (E) Ne me laisse pas comme ça ! Vois comme mes seins se gonflent ! Je sens ton sexe contre mes fesses ! Ca me rend folle ! Tu sens comme je mouille… Caresse mes seins ! Palpe les ! On ne peut en rester ... |
![]() | donnez moi (Christian Bailly)Donnez-moi ce tout petit peu de vous Qui vaut tant pour moi, L'extrait, L'intime, Le sublime, De votre corps d'homme. Donnez-moi, de vos fascinants atours, La preuve de votre amour, L'élixir, L'essence, La quintessence, De votre chair amoureuse. Donnez-moi, de vos viriles splendeurs, Ce qui fait mon bonheur, Le divin, Le céleste, Le zeste, De vos désirs de mortel. Christian Bailly | donnez moi (Christian Bailly) (E) Donnez-moi ce tout petit peu de vous Qui vaut tant pour moi, L'extrait, L'intime, Le sublime, De votre corps d'homme. Donnez-moi, de vos fascinants atours, La preuve de votre amour, L'élixir, L'essence, ... |
![]() | il faut tout t'expliquer- Qu'est ce que tu regardes ? - Ton regard ne cesse de fixer ma poitrine. - Je suis sûr que tu bandes. - Je sens ton regard et ça m’excite. - ... tu m'entends ? - Cool ! Vas-y, laisses-toi aller, la vie est belle. - Vois comme mes seins se gonflent quand je te regarde. - Je suis sûr que tu bandes. - Tu comptes me regarder longtemps ? - Alors ? Tu t'occupes de moi ? - Tu veux savoir de quoi j'ai envie ? - Il faut vraiment tout t'expliquer ! - ... - j'ai envie que tu me caresses ... partout ! - j'ai envie de ta bouche - j'ai envie de ta langue dans ma bouche - j'ai envie de tes mains sur mes seins - j'ai envie que tu me renverse là, sur le lit - j'ai envie que tu arraches ma culotte - j'ai envie de ton sexe - j'ai envie d'être pénétrée - j'ai envie que tu me baise ! - j'ai envie de sentir ton sexe grossir en moi ! - j'ai besoin de le sentir investir mon ventre ! - j'ai envie d'entendre tes feulements de plaisir - j'ai envie de crier de plaisir avec toi - j'ai envie de t'entendre jouir - j'ai envie que tu te lâches en moi ... avec moi ! - j'ai envie de sentir ton sperme chaud couler dans mon ventre ! - j'ai envie que tu me baises ... violemment, profondément ! - j'ai envie de toi ! - Maintenant ! | il faut tout t'expliquer (E) - Qu'est ce que tu regardes ? - Ton regard ne cesse de fixer ma poitrine. - Je suis sûr que tu bandes. - Je sens ton regard et ça m’excite. - ... tu m'entends ? - Cool ! Vas-y, laisses-toi aller, l ... |
![]() | joie brulante (Guy de Maupassant)Elle se renversa, râlant sous ma caresse ; Sa poitrine oppressée et dure de tendresse Haletait fortement avec de longs sanglots. Sa joie était brûlante et ses yeux demi-clos ; Et nos bouches, et nos sens, nos soupirs se mêlèrent Guy de Maupassant | joie brulante (Guy de Maupassant) (E) Elle se renversa, râlant sous ma caresse ; Sa poitrine oppressée et dure de tendresse Haletait fortement avec de longs sanglots. Sa joie était brûlante et ses yeux demi-clos ; Et nos bouches, et nos ... |
![]() | l'affinité des chairs (Guy de Maupassant)dans la nuit tranquille où la campagne dort, Un cri d'amour monta, si terrible et si fort Que des oiseaux dans l'ombre effarés s'envolèrent Ainsi que deux forçats rivés aux mêmes fers Un lien nous unissait, l'affinité des chairs. Guy de Maupassant | l'affinité des chairs (Guy de Maupassant) (E) dans la nuit tranquille où la campagne dort, Un cri d'amour monta, si terrible et si fort Que des oiseaux dans l'ombre effarés s'envolèrent Ainsi que deux forçats rivés aux mêmes fers ... |
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![]() | fais de moi ta deesse (Spatifi)aime moi sans retenue fais de moi ta deesse entre les draps toute nue comble moi de tes prouesses Dévore ma peau avec de tendres baisers dis moi tout bas tes plus folles pensées Enmene moi au paradis de l'amour et du desir donne moi de la magie de la passion et du plaisir fais moi l'amour j'ai envie de toi de sentir la chaleur de ton corps contre moi fais moi l'amour donne moi tes caresses dessinant mes contours en manque de tendresse Spatifi | fais de moi ta deesse (Spatifi) (E) aime moi sans retenue fais de moi ta deesse entre les draps toute nue comble moi de tes prouesses Dévore ma peau avec de tendres baisers dis moi tout bas tes plus folles pensées Enmene moi au paradis d ... |
![]() | (E) ... |
![]() | Tout le bonheur en un instantJeu de mains. Nos doigts qui apprennent à se connaître. Au plus pressé. dessous de chemisier, dessous de dentelles. Effeuillage rapide, ma main qui longe ton bas, Ta jambe que je releve, ta jupe que j'écarte, que j'apprivoise, que je remonte. Tendresse et passion mêlée. Tes rondeurs se dégustent, une main sur ton sein. un doigt sous l'élastique, Tes dessous écartés, Pénetration, extase Vient le soyeux intense, le charnel infini. Le paradis moite qui ouvre grand ses portes. Profondeur abyssale, le sang qui monte. tension maximale Jouissance liberée, jouissance partagée. Déferlement. Tout le bonheur du monde en un instant. | Tout le bonheur en un instant (E) Jeu de mains. Nos doigts qui apprennent à se connaître. Au plus pressé. dessous de chemisier, dessous de dentelles. Effeuillage rapide, ma main qui longe ton bas, Ta jambe que je releve, ta jupe ... |
![]() | Je t'ai fait l'amour toute la nuit Jusqu'à fouiller tes entrailles Même quand soudain tu bailles Et ne te laissant le repos De mes insatiables assauts Que quand tu t'es Assoupie, puis endormie, Lovée sur le côté, Me tournant le dos. A contempler ton joli corps J'ai envie de toi encore et encore... Tu m'excites comme rarement Nous avons d'une seule nuit le temps : Comment ne pas en abuser ? Tu es belle comme un paysage. Je pars en rêveries La main posée sur ta hanche. Demain c'est dimanche, Je me sens encore plein de vie. Ma main est heureuse D'être là sur ta peau, Elle se fait baladeuse Caresse tendre sur ton dos. Je soulève le drap blanc Et, contemple dans la pénombre La courbe de tes fesses : Rondeur qui m'attire, Cercle parfait tout en tendresse Dont la fente au milieu trace une ombre Où je sais que repose ta chaude fève... Et je sens l'excitation monter, Sur mon gland perle une goutte de l'or Que mon désir de toi fait couler. Mes veines se gonflent de sang, Ma hampe se redresse lentement, Ma verge est devenue grosse et dure Je me blotti contre ton corps : Douceur lisse de ton dos, Satin pur délice que ta peau ! J'ouvre doucement tes fesses Et lentement, avec adresse, Y place mon sexe qui s'y dresse. Mon gland, tête chercheuse en désir, Trouve facilement, en son loisir, Ô ta rose, Fleur merveille ! Encore légèrement éclose Du plaisir trépassé, Encore toute trempée Du foutre que j'y ai vidé, Et bien chaude du sommeil Que je n'ai pas encore troublé... Je pointe au plus chaud et humide Entre tes lèvres qui palpitent au passage, Je pousse et m'enfonce délicatement Dans l'anneau qui m'accueille, Tu gémis et d'instinct ouvre ta clepsydre, Laissant entrer mon membre en désirs pas sages Comme si tu avais attendu patiemment Que ce familier ainsi te cueille... Du sommeil t'éveillant Tu écartes doucement les cuisses Facilitant ma venue Dans ta chair à nu En toi progressivement Tout entier hum... je glisse... Sur ta peau brûlante et torride Je dépose des baisers humides En des soupirs imprononçables Prolongeant de ton réveil inévitable La phase trouble et cotonneuse Qui je devine te rend heureuse... Puis, sentant couler d'amour Un tendre beurre Sur ma queue velours Qui caresse tes intérieurs, Je pense venu l'heure De passer la vitesse supérieure. Je te bascule à plat ventre, M'arque-boute au dessus de toi Tel un lion qui va croquer sa proie, Et d'un élan charnel j'entre Tout au fond de toi Raide et droit ! Han ! Tu gémis, comblée, remplie L'expression de ton visage est si belle Que ton plaisir me donne des ailes : Je jette alors en toi mon dévolu Souquant ferme ton corps et le lit Et tu t'offres à moi sans retenue Te laissant au plaisir hum... aller... Et je vais et je viens Si dur et plein de promesse Entre tes reins, Et je vibre et coulisse Frappant tes fesses De mes couilles lisses Encore dans ton demi-sommeil Tu reçois mon éveil, Les yeux clos, La bouche baveuse, Sentant sur ton dos Mon haleine heureuse Je te chevauche de longues minutes Amant fou de toi, plein d'ardeur, Tu me reçois, telle une paresseuse, Lascive, payée de ma sueur ! Je te ramones sexe érigé, Tu jouis d'être ainsi aimée, Et enfin j'explose, roi soleil, Profond en toi une salve de miel ! Ô mon amour, je sais comme tu aimes Être câlinée au réveil. Là, mieux ou pire, je t'ai fait mienne Jusque dans ton sommeil ! Ô mon amour, je dois t'avouer C'était un fantasme Que j'avais en moi si fort ! Tu m'as permis de le réaliser : Sublime orgasme Dont je tremble encore... Cyr | (E) Je t'ai fait l'amour toute la nuit Jusqu'à fouiller tes entrailles Même quand soudain tu bailles Et ne te laissant le repos De mes insatiables assauts Que quand tu t'es Assoupie, puis endormie, Lovée sur ... |
![]() | Mes seins se tendent, mon corps s’arque du désir d’être possédée Etre ta maîtresse pour une nuit enflammée et perdre la raison, rien qu’ une aventure. Me repaître de ton corps et cuver l’ivresse Savoir pressentir ton désir et faire jaillir en moi ton plaisir T'aimer tellement que je ne t' avouerai rien des désirs adultères Renaître en tes bras, se pâmer sous tes assauts et me faire gémir Te faire désirer mon corps, vouloir t'y introduire et mourir de plaisir Te faire retenir le plaisir assez longtemps, jusqu’ à exploser de jouir François D ALAYRAC et MarionLUBREAC | (E) Mes seins se tendent, mon corps s’arque du désir d’être possédée Etre ta maîtresse pour une nuit enflammée et perdre la raison, rien qu’ une aventure. Me repaître ... |