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jeudi 25 décembre 2025 - 10h37
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les parfums de la terre (Pierre Perret)


J'ai l'été dans les reins
J'ai dans mes seins gonflés les parfums de la terre
J'ai ouvert mes jambes à ta semence
et dans mon ventre bleu, j'ai la mère des étoiles.

Pierre Perret
les parfums de la terre (Pierre Perret) (E)
J'ai l'été dans les reins
J'ai dans mes seins gonflés les parfums de la terre
J'ai ouvert mes jambes à ta semence
et dans mon ventre bleu, j'ai la mère des étoiles.

Pierre Perre ...

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fouillée au fond de mon être


Reste. Reste en moi, je t'en prie.
Je veux te conserver encore dans ma chair.
Des larmes de bonheur inondent mes paupières.
fouillée au fond de mon être,
Je sens tes dernières caresses intimes !
Je te sens maintenant diminuer de volume...
Ton sexe n'est plus aussi dur. Il ressort lentement,
libérant un flot de secretions amoureuses
c'est un agréable glissement mouillé,
accompagné d’un torrent de ton jus
qui me coule délicieusement entre les fesses.
Tu es un merveilleux amant !
Ne bouge plus ! Laisse moi te serrer contre moi,
je t’étreins. ton visage dans mon cou,
ton souffle sur ma nuque.
Mes mains dans le creux de tes reins,
sur ta peau lisse et douce.
Sens mon parfum sur ta peau.
Je te sens apaisé, vidé, comblé,
Tu m'as donné ta douceur, ta fraîcheur ...
Laisse moi t'embrasser, te caresser ...
Je te laisse glisser hors de moi...
Tu es mon bel amant !
fouillée au fond de mon être (E)
Reste. Reste en moi, je t'en prie.
Je veux te conserver encore dans ma chair.
Des larmes de bonheur inondent mes paupières.
fouillée au fond de mon être,
Je sens tes dernières caresses intimes ! ...

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Ne bougeons pas


Ne bougeons pas ou bien si peu,
Tout doux, Soyons heureux, soyons deux.
Mais moi, aimant, m'éveille soudain,
Et de mes caresses lentes, de mes mains,
Je te dis soyons un. Ton corps s'éveille au mien.

Mes jambes, mes bras, mon corps te capturent
De Chaleurs, vibrations, ton ventre tremblant.
Nos peaux s'enfièvrent comme une brûlure.
Réveil, désir, puis mon corps puissant
Tendre et dur sur le tien.

Quand les frissons déferlent, viennent,
Voluptueux, nous livrent, Nous paralysent,
La rencontre, l'explosion, Puis l'abandon.
Ma tête alourdie Aimante dans ton cou lovée.

Vient la paix, l'harmonie. Dans les draps satinés.
Calmes, sereins complices apaisés,
Dans notre lit douillet, Dans le silence ami.
Nous nous rendormons serré unis.
Dans ce matin gris.
Ne bougeons pas (E)
Ne bougeons pas ou bien si peu,
Tout doux, Soyons heureux, soyons deux.
Mais moi, aimant, m'éveille soudain,
Et de mes caresses lentes, de mes mains,
Je te dis soyons un. Ton corps s'éveille au mien.

M ...

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fausse accalmie (Jean Cocteau)


Soudain leurs yeux quittaient le monde,
leur tête se renversait en arrière
et leur corps crachait comme un animal furieux
Rien ne m'effraye plus
que la fausse accalmie d'un visage qui dort

Jean Cocteau
fausse accalmie (Jean Cocteau) (E)
Soudain leurs yeux quittaient le monde,
leur tête se renversait en arrière
et leur corps crachait comme un animal furieux
Rien ne m'effraye plus
que la fausse accalmie d'un visage qui dort

Jean Cocte ...

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Le soir tombe


je me sens vidée, attrapée jusqu’à l’âme.
Tu souris. Je perds pied.
nos chaleurs enmelées, et nos corps enboitées,
nos sourires qui s'echangent et un parfum d'été
Dans mon corps, cette sensation de puissance
et ta semence qui m'envahit,
le long de mes cuisses coule l'innocence

Le soir tombe, tu viens de te retirer de moi
Entre mes jambes je sens tout l'humide de notre feu
Dans mes yeux des images racontent
La nuit nous boit comme la terre apres l'orage
Et tout ce parfum s'exhalant,
c'est l'haleine sage de la paix qui chante
la douceur d'aimer, d'être aimé, et d'en jouir
oh le soir tombe

Philippe Forcioli
Le soir tombe (E)
je me sens vidée, attrapée jusqu’à l’âme.
Tu souris. Je perds pied.
nos chaleurs enmelées, et nos corps enboitées,
nos sourires qui s'echangent et un parfum d'ét&eac ...

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confondus, emmêlés


nous mourons foudroyés
au sein du firmament...
Et nous restons ainsi,
confondus, emmêlés,
collés, anéantis,
du dernier de nos souffles
au plus petit frisson,
accrochés l'un à l'autre
jusqu'à l'apaisement.
confondus, emmêlés (E)
nous mourons foudroyés
au sein du firmament...
Et nous restons ainsi,
confondus, emmêlés,
collés, anéantis,
du dernier de nos souffles
au plus petit frisson,
accroch&eacut ...

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Jusqu'au bout de la nuit


Jusqu'au bout de la nuit
il n'y a que nos corps.
le flux et le reflux,
et de brefs murmures.
Comme une plainte.
Comme un chant.
La douceur de l'autre.
Jusqu'au bout de la nuit (E)
Jusqu'au bout de la nuit
il n'y a que nos corps.
le flux et le reflux,
et de brefs murmures.
Comme une plainte.
Comme un chant.
La douceur de l'autre.
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unis l'un à l'autre


Tu es sur moi, tu es en moi,
tu m'a inondée de toi. tu m'a comblée
dans mon corps cette sensation de puissance
et ta semence qui m'envahit,
le long de mes cuisses coule l'innocence
Restons ainsi en silence sans bouger ...
emboités l'un dans l'autre, unis l'un à l'autre
nos chaleurs enmelées, et nos corps enboitées,
Enflammée jusqu'au cœur. Tu m'as essoufflée,
et nos corps sont comblés
Reste la nuit, pour que triomphe la tendresse
Restons confondus, emmêlés,
accrochés l'un à l'autre jusqu'à l'apaisement.
n'être qu'un, bien qu'étant deux
Naître à nous-mêmes en même temps.
la vague fougueuse se retire lentement,
unis l'un à l'autre (E)
Tu es sur moi, tu es en moi,
tu m'a inondée de toi. tu m'a comblée
dans mon corps cette sensation de puissance
et ta semence qui m'envahit,
le long de mes cuisses coule l'innocence
Restons ainsi en sil ...

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instants de désirs partagés


Qu'ils étaient doux ces instants de désirs partagés
avivés par ces mots impudiques à mon oreille murmurés
tu as senti le plaisir au fond de toi trésaillir
puis comme une eau vive ruisseler et jaillir
en soubresauts insaisissables dans mon corps brulant
de l'attente fiévreuse de l'orgasme fulgurant .
Délicieux plaisir de la chair, vertige des sens libérés
Tu as ensorcellé ta belle aux jupons parfumés
instants de désirs partagés (E)
Qu'ils étaient doux ces instants de désirs partagés
avivés par ces mots impudiques à mon oreille murmurés
tu as senti le plaisir au fond de toi trésaillir
puis comme une eau vive ...

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Je t'imaginais (Bernard Lanza)


Je t'imaginais nue sous une pluie d'étoiles,
Tu n'étais qu'une rose, fragile, entre mes bras ;
Le ciel nous protégeait, et te voir là sans voile
Faisait battre mon coeur ; je repoussais le drap.
Puis sur ta peau si douce, mes mains je promenais,
Tu me disais : " Sois sage, attends encore un peu ! ",
Je ne t'écoutais guère, le désir m'emmenait
Vers ces contrées sauvages où la chair est de feu.
Me faisant plus pressant, je pétrissais ton corps,
Brusquant un peu ton âme très pure et romantique;
Ton regard d'amoureuse semblait me dire :
" Plus fort ! Va pour la frénésie, ne me ménage point !
Sois amant merveilleux, fougueux et érotique !
Souvent j'en ai rêvé quand tu étais au loin. "

Bernard Lanza
Je t'imaginais (Bernard Lanza) (E)
Je t'imaginais nue sous une pluie d'étoiles,
Tu n'étais qu'une rose, fragile, entre mes bras ;
Le ciel nous protégeait, et te voir là sans voile
Faisait battre mon coeur ; je repoussais le drap.
P ...

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deux jours, deux moments (d'après Alfred de Vigny)


Nous passames deux jours d’amour et d’harmonie,
De chants et de baisers, de voix, de lèvre unie,
De regards confondus, de soupirs bienheureux,
Qui furent deux moments et deux siècles à deux.

L’extase avait fini par éblouir nos âmes,
Comme seraient nos yeux éblouis par la flamme.
Troublés, nous chancelions, et le troisième soir,
nous étions enivrés jusques à ne rien voir

Alfred de Vigny
deux jours, deux moments (d'après Alfred de Vigny) (E)
Nous passames deux jours d’amour et d’harmonie,
De chants et de baisers, de voix, de lèvre unie,
De regards confondus, de soupirs bienheureux,
Qui furent deux moments et deux siècles à deux.
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Le soir tombe


je me sens vidée, attrapée jusqu’à l’âme. Tu souris. Je perds pied.
Nos chaleurs enmelées, nos corps enboitées, nos sourires qui s'echangent et un parfum d'été
Dans mon corps, cette sensation de puissance et ta semence qui m'envahit,
le long de mes cuisses coule l'innocence

Le soir tombe, tu viens de te retirer de moi Entre mes jambes je sens tout l'humide de notre feu
Dans mes yeux des images racontent La nuit nous boit comme la terre apres l'orage
Et tout ce parfum s'exhalant, c'est l'haleine sage de la paix qui chante
la douceur d'aimer, d'être aimé, et d'en jouir. Oh le soir tombe

Philippe Forcioli
Le soir tombe (E)
je me sens vidée, attrapée jusqu’à l’âme. Tu souris. Je perds pied.
Nos chaleurs enmelées, nos corps enboitées, nos sourires qui s'echangent et un parfum d'été
Dan ...

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deux jours, deux moments (d'après Alfred de Vigny)


Nous passames deux jours d’amour et d’harmonie,
De chants et de baisers, de voix, de lèvre unie,
De regards confondus, de soupirs bienheureux,
Qui furent deux moments et deux siècles à deux.

L’extase avait fini par éblouir nos âmes,
Comme seraient nos yeux éblouis par la flamme.
Troublés, nous chancelions, et le troisième soir,
nous étions enivrés jusques à ne rien voir

Alfred de Vigny
deux jours, deux moments (d'après Alfred de Vigny) (E)
Nous passames deux jours d’amour et d’harmonie,
De chants et de baisers, de voix, de lèvre unie,
De regards confondus, de soupirs bienheureux,
Qui furent deux moments et deux siècles à deux.
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