![]() | les parfums de la terre (Pierre Perret)J'ai l'été dans les reins J'ai dans mes seins gonflés les parfums de la terre J'ai ouvert mes jambes à ta semence et dans mon ventre bleu, j'ai la mère des étoiles. Pierre Perret | les parfums de la terre (Pierre Perret) (E) J'ai l'été dans les reins J'ai dans mes seins gonflés les parfums de la terre J'ai ouvert mes jambes à ta semence et dans mon ventre bleu, j'ai la mère des étoiles. Pierre Perre ... |
![]() | fouillée au fond de mon êtreReste. Reste en moi, je t'en prie. Je veux te conserver encore dans ma chair. Des larmes de bonheur inondent mes paupières. fouillée au fond de mon être, Je sens tes dernières caresses intimes ! Je te sens maintenant diminuer de volume... Ton sexe n'est plus aussi dur. Il ressort lentement, libérant un flot de secretions amoureuses c'est un agréable glissement mouillé, accompagné d’un torrent de ton jus qui me coule délicieusement entre les fesses. Tu es un merveilleux amant ! Ne bouge plus ! Laisse moi te serrer contre moi, je t’étreins. ton visage dans mon cou, ton souffle sur ma nuque. Mes mains dans le creux de tes reins, sur ta peau lisse et douce. Sens mon parfum sur ta peau. Je te sens apaisé, vidé, comblé, Tu m'as donné ta douceur, ta fraîcheur ... Laisse moi t'embrasser, te caresser ... Je te laisse glisser hors de moi... Tu es mon bel amant ! | fouillée au fond de mon être (E) Reste. Reste en moi, je t'en prie. Je veux te conserver encore dans ma chair. Des larmes de bonheur inondent mes paupières. fouillée au fond de mon être, Je sens tes dernières caresses intimes ! ... |
![]() | Ne bougeons pasNe bougeons pas ou bien si peu, Tout doux, Soyons heureux, soyons deux. Mais moi, aimant, m'éveille soudain, Et de mes caresses lentes, de mes mains, Je te dis soyons un. Ton corps s'éveille au mien. Mes jambes, mes bras, mon corps te capturent De Chaleurs, vibrations, ton ventre tremblant. Nos peaux s'enfièvrent comme une brûlure. Réveil, désir, puis mon corps puissant Tendre et dur sur le tien. Quand les frissons déferlent, viennent, Voluptueux, nous livrent, Nous paralysent, La rencontre, l'explosion, Puis l'abandon. Ma tête alourdie Aimante dans ton cou lovée. Vient la paix, l'harmonie. Dans les draps satinés. Calmes, sereins complices apaisés, Dans notre lit douillet, Dans le silence ami. Nous nous rendormons serré unis. Dans ce matin gris. | Ne bougeons pas (E) Ne bougeons pas ou bien si peu, Tout doux, Soyons heureux, soyons deux. Mais moi, aimant, m'éveille soudain, Et de mes caresses lentes, de mes mains, Je te dis soyons un. Ton corps s'éveille au mien. M ... |
![]() | fausse accalmie (Jean Cocteau)Soudain leurs yeux quittaient le monde, leur tête se renversait en arrière et leur corps crachait comme un animal furieux Rien ne m'effraye plus que la fausse accalmie d'un visage qui dort Jean Cocteau | fausse accalmie (Jean Cocteau) (E) Soudain leurs yeux quittaient le monde, leur tête se renversait en arrière et leur corps crachait comme un animal furieux Rien ne m'effraye plus que la fausse accalmie d'un visage qui dort Jean Cocte ... |
![]() | Le soir tombeje me sens vidée, attrapée jusqu’à l’âme. Tu souris. Je perds pied. nos chaleurs enmelées, et nos corps enboitées, nos sourires qui s'echangent et un parfum d'été Dans mon corps, cette sensation de puissance et ta semence qui m'envahit, le long de mes cuisses coule l'innocence Le soir tombe, tu viens de te retirer de moi Entre mes jambes je sens tout l'humide de notre feu Dans mes yeux des images racontent La nuit nous boit comme la terre apres l'orage Et tout ce parfum s'exhalant, c'est l'haleine sage de la paix qui chante la douceur d'aimer, d'être aimé, et d'en jouir oh le soir tombe Philippe Forcioli | Le soir tombe (E) je me sens vidée, attrapée jusqu’à l’âme. Tu souris. Je perds pied. nos chaleurs enmelées, et nos corps enboitées, nos sourires qui s'echangent et un parfum d'ét&eac ... |
![]() | confondus, emmêlésnous mourons foudroyés au sein du firmament... Et nous restons ainsi, confondus, emmêlés, collés, anéantis, du dernier de nos souffles au plus petit frisson, accrochés l'un à l'autre jusqu'à l'apaisement. | confondus, emmêlés (E) nous mourons foudroyés au sein du firmament... Et nous restons ainsi, confondus, emmêlés, collés, anéantis, du dernier de nos souffles au plus petit frisson, accroch&eacut ... |
![]() | Jusqu'au bout de la nuitJusqu'au bout de la nuit il n'y a que nos corps. le flux et le reflux, et de brefs murmures. Comme une plainte. Comme un chant. La douceur de l'autre. | Jusqu'au bout de la nuit (E) Jusqu'au bout de la nuit il n'y a que nos corps. le flux et le reflux, et de brefs murmures. Comme une plainte. Comme un chant. La douceur de l'autre. ... |
![]() | unis l'un à l'autreTu es sur moi, tu es en moi, tu m'a inondée de toi. tu m'a comblée dans mon corps cette sensation de puissance et ta semence qui m'envahit, le long de mes cuisses coule l'innocence Restons ainsi en silence sans bouger ... emboités l'un dans l'autre, unis l'un à l'autre nos chaleurs enmelées, et nos corps enboitées, Enflammée jusqu'au cœur. Tu m'as essoufflée, et nos corps sont comblés Reste la nuit, pour que triomphe la tendresse Restons confondus, emmêlés, accrochés l'un à l'autre jusqu'à l'apaisement. n'être qu'un, bien qu'étant deux Naître à nous-mêmes en même temps. la vague fougueuse se retire lentement, | unis l'un à l'autre (E) Tu es sur moi, tu es en moi, tu m'a inondée de toi. tu m'a comblée dans mon corps cette sensation de puissance et ta semence qui m'envahit, le long de mes cuisses coule l'innocence Restons ainsi en sil ... |
![]() | instants de désirs partagésQu'ils étaient doux ces instants de désirs partagés avivés par ces mots impudiques à mon oreille murmurés tu as senti le plaisir au fond de toi trésaillir puis comme une eau vive ruisseler et jaillir en soubresauts insaisissables dans mon corps brulant de l'attente fiévreuse de l'orgasme fulgurant . Délicieux plaisir de la chair, vertige des sens libérés Tu as ensorcellé ta belle aux jupons parfumés | instants de désirs partagés (E) Qu'ils étaient doux ces instants de désirs partagés avivés par ces mots impudiques à mon oreille murmurés tu as senti le plaisir au fond de toi trésaillir puis comme une eau vive ... |
![]() | Je t'imaginais (Bernard Lanza)Je t'imaginais nue sous une pluie d'étoiles, Tu n'étais qu'une rose, fragile, entre mes bras ; Le ciel nous protégeait, et te voir là sans voile Faisait battre mon coeur ; je repoussais le drap. Puis sur ta peau si douce, mes mains je promenais, Tu me disais : " Sois sage, attends encore un peu ! ", Je ne t'écoutais guère, le désir m'emmenait Vers ces contrées sauvages où la chair est de feu. Me faisant plus pressant, je pétrissais ton corps, Brusquant un peu ton âme très pure et romantique; Ton regard d'amoureuse semblait me dire : " Plus fort ! Va pour la frénésie, ne me ménage point ! Sois amant merveilleux, fougueux et érotique ! Souvent j'en ai rêvé quand tu étais au loin. " Bernard Lanza | Je t'imaginais (Bernard Lanza) (E) Je t'imaginais nue sous une pluie d'étoiles, Tu n'étais qu'une rose, fragile, entre mes bras ; Le ciel nous protégeait, et te voir là sans voile Faisait battre mon coeur ; je repoussais le drap. P ... |
![]() | deux jours, deux moments (d'après Alfred de Vigny)Nous passames deux jours d’amour et d’harmonie, De chants et de baisers, de voix, de lèvre unie, De regards confondus, de soupirs bienheureux, Qui furent deux moments et deux siècles à deux. L’extase avait fini par éblouir nos âmes, Comme seraient nos yeux éblouis par la flamme. Troublés, nous chancelions, et le troisième soir, nous étions enivrés jusques à ne rien voir Alfred de Vigny | deux jours, deux moments (d'après Alfred de Vigny) (E) Nous passames deux jours d’amour et d’harmonie, De chants et de baisers, de voix, de lèvre unie, De regards confondus, de soupirs bienheureux, Qui furent deux moments et deux siècles à deux. ... |
![]() | Le soir tombeje me sens vidée, attrapée jusqu’à l’âme. Tu souris. Je perds pied. Nos chaleurs enmelées, nos corps enboitées, nos sourires qui s'echangent et un parfum d'été Dans mon corps, cette sensation de puissance et ta semence qui m'envahit, le long de mes cuisses coule l'innocence Le soir tombe, tu viens de te retirer de moi Entre mes jambes je sens tout l'humide de notre feu Dans mes yeux des images racontent La nuit nous boit comme la terre apres l'orage Et tout ce parfum s'exhalant, c'est l'haleine sage de la paix qui chante la douceur d'aimer, d'être aimé, et d'en jouir. Oh le soir tombe Philippe Forcioli | Le soir tombe (E) je me sens vidée, attrapée jusqu’à l’âme. Tu souris. Je perds pied. Nos chaleurs enmelées, nos corps enboitées, nos sourires qui s'echangent et un parfum d'été Dan ... |
![]() | deux jours, deux moments (d'après Alfred de Vigny)Nous passames deux jours d’amour et d’harmonie, De chants et de baisers, de voix, de lèvre unie, De regards confondus, de soupirs bienheureux, Qui furent deux moments et deux siècles à deux. L’extase avait fini par éblouir nos âmes, Comme seraient nos yeux éblouis par la flamme. Troublés, nous chancelions, et le troisième soir, nous étions enivrés jusques à ne rien voir Alfred de Vigny | deux jours, deux moments (d'après Alfred de Vigny) (E) Nous passames deux jours d’amour et d’harmonie, De chants et de baisers, de voix, de lèvre unie, De regards confondus, de soupirs bienheureux, Qui furent deux moments et deux siècles à deux. ... |