![]() | orgasme (Djoe L'indien)Nos deux corps mélangés se mettent à vibrer Au son de nos soupirs, et les murs de la chambre Témoins de ces ébats s'en trouvent empourprés, reflétant la bougie et ses chauds rayons d'ambre Puis sur ma langue coule, échappée du foyer Ardent qui nait en toi, cette vague qui roule Jusqu'au fond de ma gorge, dont j'aime à festoyer Lorsqu'en petits sursauts ton corps sous moi s'écroule Et tu m'aspires fort et je laisse jaillir Une chaude liqueur, le fruit de mon orgasme; Sous tes baisers brûlants je me sens défaillir Sur ton corps agité de quelques derniers spasmes Djoe L'indien | orgasme (Djoe L'indien) (E) Nos deux corps mélangés se mettent à vibrer Au son de nos soupirs, et les murs de la chambre Témoins de ces ébats s'en trouvent empourprés, reflétant la bougie et ses chauds rayon ... |
![]() | ta chair qui me presse- Tu es contre moi ! tu es mon bel amant. - Tu sens ? Je m'ouvre a toi ! - Viens ! La ... Doucement ... - Je sens ta chair qui me presse, me penetre - Sens-tu tout au fond mes tendres caresses ? - Rythme bien tes mouvements - au gre de mon balancements, - O mon ame ... glisse en moi ... Lentement, - prolongeons l'instant d'ivresse. - La ... plus vite ! ... Plus profond ! - Je fonds ! Attends ... Oui ! - je t'adore... Va ! va ! va ! - Encore ! - OUI! | ta chair qui me presse (E) - Tu es contre moi ! tu es mon bel amant. - Tu sens ? Je m'ouvre a toi ! - Viens ! La ... Doucement ... - Je sens ta chair qui me presse, me penetre - Sens-tu tout au fond mes tendres caresses ? - Rythme bien tes mouv ... |
![]() | ton corps farineux (Aimé Césaire)De ton corps farineux où pompe l'huile acajou des rouages précieux de tes yeux à marées de ton sexe à crocus de ton corps de ton sexe serpents nocturnes de fleuves et de cases de ton sexe de sabre de général de l'horlogerie astronomique de ton sexe à venin de ton corps de mil de miel de pilon de pileuse d'Attila de l'an mil casqué des algues de l'amour et du crime Aimé Césaire | ton corps farineux (Aimé Césaire) (E) De ton corps farineux où pompe l'huile acajou des rouages précieux de tes yeux à marées de ton sexe à crocus de ton corps de ton sexe serpents nocturnes de fleuves et de cases |
![]() | tempête (Louise Gabriel)Pour un souffle qui devient tempête, Le corps comme un champ labouré, La peau, attendent la semence des caresses. Une étendue douce et dorée. Ils balancent leur tête colorée de lumière solaire, Ils ondulent doucement, les épis de blé, Se plient avec grâce sous la tendresse du vent. Ils se frôlent, se cajolent, se pressent, se compressent, S’appréhendent, se prennent, se possèdent… Ils se font l’amour sous la brûlante morsure Du soleil de l’été. Louise Gabriel | tempête (Louise Gabriel) (E) Pour un souffle qui devient tempête, Le corps comme un champ labouré, La peau, attendent la semence des caresses. Une étendue douce et dorée. Ils balancent leur tête colorée de lu ... |
![]() | Enflammée jusqu'au cœurJe m'enfonçe, tu me guide, de ta tendresse. De ton envie. J'entre en toi en douceur comme on entre dans la vague. Je m'enfouis en toi et descend, et descend --------------------------------------------------- Tu es ma flèche, fichée dans ma chair, J'ai le corps frémissant, tendu comme un arc tu remues en moi la terre et le feu, la mer et le vent. --------------------------------------------------- se fondre et se confondre. Et n'être qu'un, bien qu'étant deux Je me donne, tu me prends, ronronnements, feulements. Frôlons nous l'un dans l'autre, glissons dans nos chairs. --------------------------------------------------- Au rythme de ton corps, je me plie sans effort. Courtisane lascive, soumise et attentive Au plus profond de moi, ton sceptre devient roi, --------------------------------------------------- Donne moi ta bouche chaude, j'y introduis ma langue mélangeons nos salives jusqu'à ce que nos corps tanguent --------------------------------------------------- le flux et le reflux, et de brefs murmures. Comme une plainte. Comme un chant. La douceur de l'autre. Je me soulève un peu lorsque tu te retires Et tu reviens te perdre au plus profond de moi, --------------------------------------------------- Je vais et je viens, tu m'absorbes. Je n’en finis pas. les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues. et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits. --------------------------------------------------- Ecoutes mon corps qui respire et vit de plaisir, ma chair qui s'ouvre et se ferme comme un cœur palpitant, les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques. --------------------------------------------------- Tu avales mon corps, Tu ondules, tu m'aspires, je râle, tu gémis. je te fixe, tu souris. Je caresse tes joues empourprées de lumière. Tu me serres, me dévores. Je m’enfonce loin, très loin. Tu m’enroules, me défait, je plonge, me retire. --------------------------------------------------- Regardes. Ecoutes. Touches. Respires. Goûtes. La sueur qui perle à ma peau rougissante. Mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur. Ma bouche affamée qui cherche tes baisers. Les larmes salées que je laisse s'écouler. --------------------------------------------------- Sens, ce frottement délicat irisé de plaisir. ce glissement onctueux, cette penetration lente Je m'enfonce en toi, te penetre, te comble, --------------------------------------------------- Je te sens grossir, durcir et t'allonger le plaisir monte en vagues, mon ventre est en feu. Mes oreilles bourdonnent. Ma tête s'embrase. Tu te retires, laissant le vide en moi. Je me débats, Tu me reprends, complètement, passionnément. --------------------------------------------------- Mon corps collé au tien, je te pénètre, totalement. Je t'investis, brutalement, sans concession, Tu cries, tu râles, je brâme. Jusqu'au bout de la nuit il n'y a que nos corps. ------------------------------------------------ mes jambes écartées pour mieux te recevoir mes jambes resserrées pour mieux te retenir La jouissance monte en moi femme révélée Tu me finis. Je jouis. Le point jamais atteint. ----------------------------------------------------- Rien d'autre jusqu'au silence. Jusqu'à l'épuisement Nous nous aimons. Il n'y a pas de fin. ----------------------------------------------------- Enflammée jusqu'au cœur. Tu m'as essoufflée, et nos yeux sont heureux. | Enflammée jusqu'au cœur (E) Je m'enfonçe, tu me guide, de ta tendresse. De ton envie. J'entre en toi en douceur comme on entre dans la vague. Je m'enfouis en toi et descend, et descend --------------------------------------------------- Tu es ... |
![]() | Investis moiTu te retires ... et me laisses vacante. Je t'en supplie, reprends moi, complètement, Colle ton corps au mien, pénètre-moi, totalement. Investis moi, passionnément, sans concession, Finis moi. Fais moi jouir. Jouissons ensemble. Enflammée jusqu'au cœur, tu m'as essoufflée, et nos yeux sont heureux. | Investis moi (E) Tu te retires ... et me laisses vacante. Je t'en supplie, reprends moi, complètement, Colle ton corps au mien, pénètre-moi, totalement. Investis moi, passionnément, sans concession, Finis moi. ... |
![]() | ta chaleur dans mon ventreTu as bramé et j'ai vibré, ta chaleur dans mon ventre, ta semence qui s'éjectait en moi, et ce fut bon, oui, si bon | ta chaleur dans mon ventre (E) Tu as bramé et j'ai vibré, ta chaleur dans mon ventre, ta semence qui s'éjectait en moi, et ce fut bon, oui, si bon ... |
![]() | au dernier de nos soufflesj'étouffe ses sanglots, elle avale mes cris, nous bloquons dans nos gorges d'agonisantes plaintes et, nos corps agités par de violents frissons, nous mourons foudroyés au sein du firmament... Et nous restons ainsi, confondus, emmêlés, collés, anéantis, du dernier de nos souffles au plus petit frisson, accrochés l'un à l'autre jusqu'à l'apaisement. | au dernier de nos souffles (E) j'étouffe ses sanglots, elle avale mes cris, nous bloquons dans nos gorges d'agonisantes plaintes et, nos corps agités par de violents frissons, nous mourons foudroyés au sein du firmament... Et ... |
![]() | osmose (Bertino le Pascalois)Frisson ultime de tes caresses sur ma peau Je retrouve le bouillonnement tumulte de mes sens en éveil par tes mains sillonnant mon dos Jouant au plus profond de ces petits points sensible de moi Qui cabrent mes reins épris et m'arrachant des petits cris. Comment te dire à quel point la magie de tes mains m'ensorcelle Et comment dans le feu qui m'inonde, je quitte un peu le monde Pour gagner celui des étoiles puis retomber en chaude larmes Chaleur de mes émois transis, je finis la tête sur ton épaule En une violente jouissance ---------------------------- Quand, pris dans la douceur de ton intimité Je m’en vais et reviens au rythme de tes reins Tout mon être n’est plus que la sublimité D’un air de toccata joué au clavecin. De ton corps qui gémit aux arias de ma peau S’écoutent des sanglots de limbes de corolles Qui font vibrer le vent, comme un frêle rideau Aux bruissements de l’air, se gonfle et puis s’envole. En mille éclats de doigts, mes mains devenues toi Se sont mises à jouer un solo d’harmonie En trois petites notes, à nous, à toi, à moi. Et au bout de l’instant, quand, éclos de la nymphe Se déchirent du ciel les nuages en un cri C’est la larme d’un luth qui coule de la lymphe Bertino le Pascalois - Le Chat à la Rose | osmose (Bertino le Pascalois) (E) Frisson ultime de tes caresses sur ma peau Je retrouve le bouillonnement tumulte de mes sens en éveil par tes mains sillonnant mon dos Jouant au plus profond de ces petits points sensible de moi Qui cabrent mes reins ... |
![]() | le feu et la soie (Etienne Daho)C'est un moment fort où se reveille l'eau qui dort Un moment clair où je me confonds a ta chair C'est le feu et la soie C'est le vent qui court sous la peau Et c'est t'apprendre avec les doigts qui me rend tout chose C'est comme un mal en moi qui m'effraie qui me tord Sens m'encore et fais moi perdre pied Dans ces eaux troubles fais-moi plonger Me garder en toi le souffle court figer la pose Les yeux noyés comme deux mutants sous hypnose C'est comme un mal en toi qui te pèse et te mord Baise m'encore et fais-moi tournoyer Dans ces eaux sombres fais-moi plonger C'est se taire et fuir s'offrir à temps Partir avant de découvrir D'autres poisons dans d'autres villes Et en finir de ces voyages immobiles. Etienne Daho | le feu et la soie (Etienne Daho) (E) C'est un moment fort où se reveille l'eau qui dort Un moment clair où je me confonds a ta chair C'est le feu et la soie C'est le vent qui court sous la peau Et c'est t'apprendre avec les doigts qui me rend tout ... |
![]() | Adam det Eve (Sir de Chambley)Il glissa sous la femme une main caressante... Eve bondit, l'oeil clos, la croupe frémissante, Les seins tendus, les poings crispés dans ses cheveux. Tout son être frémit d'un long frisson nerveux, Et le soupir mourut entre ses dents serrées. "Encore !" Elle entr'ouvrit des deux cuisses cambrées, Et le premier puceau vint tomber dans ses bras ! "Encore ! Cherche encore ! Oui. Tant que tu voudras." Comme il croisait ses mains sous deux épaules blanches Adam sentit deux pieds se croiser sur ses hanches. Leurs membres innocents s'enlaçaient, s'emmêlaient. S'ils avaient pu savoir, au moins, ce qu'ils voulaient ! Ô pucelage ! Alors, presque sans le comprendre, Tous deux en même temps, d'une voix faible et tendre, Murmurèrent : "Je t'aime". Et le premier baiser Vint, en papillonnant, en riant, se poser Et chanter doucement sur leurs lèvres unies. Dieu, pour les ignorants, créa deux bons génies : L'Instinct et le Hasard. Or, au bout d'un instant, Eve avait deviné ce qui l'intriguait tant. Avez-vous jamais vu le serpent que l'on chasse ? De droite à gauche, errant, affolé, tête basse, En avant, en arrière, il va sans savoir où. Il s'élance ; il recule ; il cherche ; il veut un trou, Un asile où cacher sa fureur écumante. Il cherche : il ne voit rien, et son angoisse augmente. Mais, lorsqu'il aperçoit l'abri qu'il a rêvé, Il entre et ne sort plus. - Adam avait trouvé ! Un cri, puis des soupirs : l'homme a compris la femme. Les deux corps enlacés semblaient n'avoir qu'une âme. Ils se serraient, ils se tordaient, ils bondissaient. Les chairs en feu frottaient les chairs, s'électrisaient. Les veines se gonflaient. Les langues acérées Cherchaient une morsure entre les dents serées, Des nerfs tendus et fous, des muscles contractés, Des élans furieux, des bonds de voluptés... Plus fort ! Plus vite ! Enfin, c'est la suprême étreinte, Le frisson convulsif... Eve, alanguie, éteinte, Se pâme en un soupir et fléchit sur ses reins ; Ses yeux cherchent le ciel ; son coeur bat sous ses seins. Son beau corps souple, frêle, et balnc comme la neige, S'arrondit, s'abandonne au bras qui la protège. Adam, heureux et las, se couche à son côté. Puis, tous deux, lourds, le sein doucement agité Comme s'ils écoutaient de tendres harmonies, Rêvent, dans la langueur des voluptés finies. Mais Eve : "Dieu, vois-tu, ne fait rien sans raison, Dieu fait bien ce qu'il fait... Viens là ! Recommençons..." Edmond Haraucourt | Adam det Eve (Sir de Chambley) (E) Il glissa sous la femme une main caressante... Eve bondit, l'oeil clos, la croupe frémissante, Les seins tendus, les poings crispés dans ses cheveux. Tout son être frémit d'un long frisson nerveux, |
![]() | jusqu'à l'apaisementj'étouffe tes sanglots, tu avale mes cris, nous bloquons dans nos gorges d'agonisantes plaintes et, nos corps agités par de violents frissons, nous mourons foudroyés au sein du firmament... Et nous restons ainsi, confondus, emmêlés, collés, anéantis, du dernier de nos souffles au plus petit frisson, accrochés l'un à l'autre jusqu'à l'apaisement. | jusqu'à l'apaisement (E) j'étouffe tes sanglots, tu avale mes cris, nous bloquons dans nos gorges d'agonisantes plaintes et, nos corps agités par de violents frissons, nous mourons foudroyés au sein du firmament... Et n ... |
![]() | point extrêmeRendu au point extrême où tous les sens explosent Je lui dis mon désir d'enfin la satisfaire. Et en son ventre offert mon sexe put se déployer, Et je me répandis en une apothéose… | point extrême (E) Rendu au point extrême où tous les sens explosent Je lui dis mon désir d'enfin la satisfaire. Et en son ventre offert mon sexe put se déployer, Et je me répandis en une ap ... |
![]() | deux corps enlacés (Edmond Haraucourt)Les deux corps enlacés se serrent, se tordent, bondissent. Les chairs en feu frottent les chairs, s'électrisent. Les veines se gonflent. Les langues acérées cherchent une morsure entre les dents serrées, les nerfs tendus et fous, les muscles contractés, les élans furieux, les bonds de volupté... Plus fort ! Plus vite ! C'est la suprême étreinte, le frison convulsif.... Eve alanguie, éteinte, se pâme en un soupir et fléchit sur ses reins ! Ses yeux cherchent le ciel, son coeur bat sous ses seins. Son corps souple, frêle, et blanc comme la neige, s'arrondit, s'abandonne au bras qui la protège. Adam, heureux et las, se couche à son côté. Puis tous deux, lourds, le sein doucement agité comme s'ils écoutaient de tendres harmonies, rêvent, dans la langueur des voluptés finies. Mais Eve : "Dieu, vois-tu, ne fait rien sans raison, Dieu fait bien ce qu'il fait... Viens là ! Recommençons.... " Edmond Haraucourt | deux corps enlacés (Edmond Haraucourt) (E) Les deux corps enlacés se serrent, se tordent, bondissent. Les chairs en feu frottent les chairs, s'électrisent. Les veines se gonflent. Les langues acérées cherchent une morsure entre les dents serrées, l ... |
![]() | prends mon corps !Sois femelle primale ! Ainsi je t'aurai prise Ta vulve ouverte m'appelle à m'introduire en toi... -------------------------------------- Mes jambes sont écartées, tu approches de l'entrée caresse mes lèvres esseulées de la pointe de ton épée, Baise-moi, prends mon corps ! Je cambre ma croupe offerte à ton envie ----------------------- J'avance mon sexe en toi, écarte bien tes lèvres ! Je te sens toute ouverte, prete pour m'accueillir. -------------------------- Plonge dans mes profondeurs, vite ! Pénètre-moi, converge, écris ton va-et-vient ! Baise-moi, renonce à la maîtrise ! ----------------------- Je sens ta conque s'ouvrir, chaleur humide et douce, et il suffit que je pousse pour y plonger totalement... ----------------------- Vas-y, n'attends pas ! Enfouis-le bien profondément glisses toi dans mon ventre. Enfonces-toi bien, oui comme ça ! Laisses moi te serrer avec mes jambes, ------------------------------------ Le sang afflue dans ma verge, palpite contre tes berges, je t'investis pleinement : un lac dans un étang ! ----------------------------------- Je te sens fort, périlleux, fougueux. Prends-moi fort, prends-moi profondément. Laisse-toi aller mon bel homme, je suis tout à toi. ------------------------------------ Enfin à fond en toi je largue les amarres et tiens ferme la barre qui dans ton ciel flamboie ! ------------------------------------ Vas-y ... encore ... ouiii ! ----------------------------------- Cap sur tes mers profondes, mon sous-marin te sonde ! Je cherche la fusion ultime et trouve le chemin de chaque courbe intime je vais et je viens, j'ondule et je coulisse roi de la glisse le long de tes lèvres jusqu'à ton onctueux bijou d'orfèvre. Ô lieu de toutes les fièvres ! où je resterais des heures comme dans un rève Ah ! vois ma grosse mine écumer ta cyprine ! Ah ! tes mains coquines s'emparent de ta poitrine ! Ah ! Ma verge est comme folle - souple tentacule - et dans ton large col j'enfourne mes testicules ! Ah ! c'est tout ton être que je pénètre ! De ta bouche rose s'échappent de longs soupirs, tes pupilles sont closes sous le poids du plaisir. J'accélère la cadence : dans nos sexes en transe l'orgasme et la jouissance montent en puissance ! Mes veines gonflées palpitent dans ton ventre, s'y concentrent prêtes à exploser. ------------------------------- Oui ! Maintenant ! inonde-moi de ta fierté de male. ------------------------------- Dans une ultime secousse je décharge une chaude mousse, me déverse, m'écoule, bouillonne, te faisant jouir, rugir : lionne ! Orgasme à son paroxysme Fusion, fièvre et cataclysme ! ---------------------------- Moi aussi j’ai joui, que c'est bon ! | prends mon corps ! (E) Sois femelle primale ! Ainsi je t'aurai prise Ta vulve ouverte m'appelle à m'introduire en toi... -------------------------------------- Mes jambes sont écartées, tu approches de l'entrée caresse ... |
![]() | osmoseTu es là, ma princesse, face à moi, nue sur le drap Et ton ventre et tes seins et tes cuisses, en sueur Se jouent de la lumière dans les giclures de l’ombre. ------------------------- oh mon roi ! Je te veux tout cru, tout à moi, Viens te planter profond, généreux en ma terre. Viens Investis moi, en dévastateur Laboure mes entrailles, à faire germer ma peau --------------------------- Regarde. Je suis là, ma déesse, nu devant tes yeux. Vois au bas de mon ventre, ce miracle de chair désirante. Tendu, dressé, gonflé, prêt à s’aboucher à tes flancs Qui déjà s’inondent. Oh! Laisse- moi le temps de t’incendier, te dévaster ------------------------------- Toute en appel de toi j'implore ta chaleur A ton membre durci je veux coller mes lèvres T'éblouir des dix mille soleils de mon aura T'offrir dix mille étoiles à t'éclater de moi Là où le ciel épouse la Mer. Là où le vent secoue la Terre Nous renaîtrons ensemble Dans le creuset de nos orgasmes François D ALAYRAC et MarionLUBREAC | osmose (E) Tu es là, ma princesse, face à moi, nue sur le drap Et ton ventre et tes seins et tes cuisses, en sueur Se jouent de la lumière dans les giclures de l’ombre. ------------------------- oh mon roi ! ... |
![]() | Tu es en moi, tu m'a inondée de toi. tu m'a comblée dans mon corps cette sensation de puissance et ta semence qui m'envahit, le long de mes cuisses coule l'innocence Enflammée jusqu'au cœur. Tu m'as essoufflée, et tes yeux sont heureux. Reste la nuit, pour que triomphe la tendresse tu t'es libéré en tapissant mes muqueuses de ta chaude liqueur je reçois ta chaleur humide, ta moiteur mouillée qui s’épanche de ton corps. ta respiration se fait profonde, le calme revient... Je conserve dans ma chair ton sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières. Les dernières caresses de ton sexe encore dur me comblent de bonheur. Je carresse doucement tes cheveux et ta nuque, je t'embrasse tendrement. Ma langue t'envahit pour une dernière étreinte je sens ton sexe diminuer de volume et ressortir lentement, liberant un flot de secretions amoureuses je le sens s’échapper totalement, dans un agréable glissement mouillé, accompagné d’un torrent de ton jus qui me coule délicieusement entre les fesses. | (E) Tu es en moi, tu m'a inondée de toi. tu m'a comblée dans mon corps cette sensation de puissance et ta semence qui m'envahit, le long de mes cuisses coule l'innocence Enflammée jusqu'au cœur. Tu m'as ... |
![]() | Tu es mon jeune amant ! Reste en moi ! Je te sens encore ferme ! recommençons ! Là... Doucement... Je te sens bien, tout au fond, Rythme bien tes caresses Lentement, quelle ivresse ! Là... Plus vite! Plus longtemps ! Je fonds ! Attends, Oui, c'est bon Va ! va ! va ! Encore ! OUI ! Mon Amour ! | (E) Tu es mon jeune amant ! Reste en moi ! Je te sens encore ferme ! recommençons ! Là... Doucement... Je te sens bien, tout au fond, Rythme bien tes caresses Lentement, quelle ivresse ! Là... ... |
![]() | Ne bougeons pasNe bougeons pas ou bien si peu, Tout doux, Soyons heureux, soyons deux. Mais moi, aimant, m'éveille soudain, Et de mes caresses lentes, de mes mains, Je te dis soyons un. Ton corps s'éveille au mien. Mes jambes, mes bras, mon corps te capturent De Chaleurs, vibrations, ton ventre tremblant. Nos peaux s'enfièvrent comme une brûlure. Réveil, désir, puis mon corps puissant Tendre et dur sur le tien. Quand les frissons déferlent, viennent, Voluptueux, nous livrent, Nous paralysent, La rencontre, l'explosion, Puis l'abandon. Ma tête alourdie Aimante dans ton cou lovée. Vient la paix, l'harmonie. Dans les draps satinés. Calmes, sereins complices apaisés, Dans notre lit douillet, Dans le silence ami. Nous nous rendormons serré unis. Dans ce matin gris. | Ne bougeons pas (E) Ne bougeons pas ou bien si peu, Tout doux, Soyons heureux, soyons deux. Mais moi, aimant, m'éveille soudain, Et de mes caresses lentes, de mes mains, Je te dis soyons un. Ton corps s'éveille au mien. M ... |
![]() | Ne bougeons pas ou bien si peu, Tout doux, Soyons heureux, soyons deux. Mais moi, aimant, m'éveille soudain, Et de mes caresses lentes, de mes mains, Je te dis soyons un.Ton corps s'éveille au mien. Mon torse, mes jambes, mes bras te capturent De Chaleurs, vibrations, ton ventre tremblant. Nos peaux s'enfièvrent comme une brûlure. Réveil, désir, puis mon corps puissant Tendre et dur sur le tien. Mes deux mains posées, sur tes cuisses, Pour le plaisir fermement t'ouvrent, Sous la tendre pression tu flanches. Docile, tendue, de moi attentive, En quête, tu écoutes mon corps vivre. Nos chairs s'attirent, s'appellent, Nos pulsions vives nous éveillent Dans le bas de ton dos, ma main Lentement t'emprisonne, forte mais câline Te tient fermement les reins. Contre moi pressé, tu me sens dressé. Je te veux, je me raidi, félin et enfin Me voici solide et droit planté Dans ton ventre qui veut se refermer. Ivre, tu es tendue vers moi. Tu fonds, tu coules ton eau, tu te noies En de long cercles de soie, Qui se resserrent en tournant, Toujours plus puissants autour de moi. Ton ventre d'amour me prend. Mon regard te cherche, te guette, Se plante dans le tien. Nos yeux nous parlent, en frissonnant De nos corps et de leur fête. Dans ton centre mon désir brûle et t'affole Allume étincelles, feu délicieux et puissant. Ma main serre la tienne pour notre envol. Nous en savons le plaisir si fort Que ton esprit flou, s'évapore. Après le salé-sucré de nos évasions, Nos mains serrées nous soutiennent, Ta bouche puis la mienne en union, Se font cannibales, expirent, s'enivrent. Quand les frissons déferlent, viennent, Voluptueux, nous livrent, Nous paralysent, La rencontre, l'explosion, Puis l'abandon. Ma tête alourdie Aimante dans ton cou lovée. Vient la paix, l'harmonie. Dans les draps satinés. Calmes, sereins complices apaisés, Dans notre lit douillet, Dans le silence ami. Nous nous rendormons serré unis. Dans ce matin gris. | (E) Ne bougeons pas ou bien si peu, Tout doux, Soyons heureux, soyons deux. Mais moi, aimant, m'éveille soudain, Et de mes caresses lentes, de mes mains, Je te dis soyons un.Ton corps s'éveille au mien. Mo ... |
![]() | Je n’osais pasJe n’osais pas te dire oui. J’ai bien failli refuser. Mais maintenant que je jouis … Puisses-tu ne pas arrêter. Ma pudeur est bouleversée Je me sens en être drogué, Mes hormones vont exploser, J’aimerais te le restituer. Est-ce comme cela tout le temps ? C’est donc cela un orgasme. Cette sensation en dedans. Cette sensation de plaisir… Qui me nourrit cet orgasme. En encore… sans en finir. Encore… encore… oui… Continue c’est bon ainsi. Oh oui… oh oui… oh ! Que c’est bon | Je n’osais pas (E) Je n’osais pas te dire oui. J’ai bien failli refuser. Mais maintenant que je jouis … Puisses-tu ne pas arrêter. Ma pudeur est bouleversée Je me sens en être drogué, Mes hormones vont ... |
![]() | Viens t'étendre près de moi Serre-moi fort dans tes bras Longue, douce, sensuelle sera notre nuit Je toucherai ton coeur, toi mon amant-ami Prends-moi avec une certaine modération J'ai tellement mais tellement de papillons Je t'attends impatiemment depuis six longs mois Enfin nous sommes ensembles toi et moi. Fais-moi tout simplement l'amour Comme si tu me connaissais depuis toujours Love-moi, aime-moi, serre-moi, prends-moi Tu seras maintenant à moi, tu seras mon Roi. | (E) Viens t'étendre près de moi Serre-moi fort dans tes bras Longue, douce, sensuelle sera notre nuit Je toucherai ton coeur, toi mon amant-ami Prends-moi avec une certaine modération J'ai tellemen ... |
![]() | allongés sur la plageallongés sur la plage, cote à cote, dans la pénombre du soir, Leur abandon les rendent encore plus nus, leurs mains se découvrent, elle décele son trouble, il caresse sa peau fraîche et lisse, arpente son corps, elle écarte ses jambes de façon presque imperceptible Il passe ses doigts dans ses cheveux, encadre son visage de ses mains chaudes Ils s'appartiennent un peu plus. Il dépose sa tête au creux de son cou, d'une main elle le guide vers son intimité. Il pénétre dans cette moite ouverture chaude comme un cocon Ils restent ainsi un moment sans bouger à se contempler l'un à l'autre unis bonheur de se faire languir, de déguster avant d'engloutir, l'un à l'autre, lui en elle, le desir les fait tanguer puis les vagues se font plus fortes, un roulis les ébranle, leurs sens sont en fusion Elle halete, elle se cambre et enroule ses jambes, il va et il vient entre ses cuisses, l'eau saline jaillit de sa source puis en elle comme un éclair fulgurant il explose de tout son corps, leur navire s'échoue sur la rive dans un dernier soubresaut, secoués de spasmes alors qu'ils sont l'un sur l'autre à jouir du même orgasme | allongés sur la plage (E) allongés sur la plage, cote à cote, dans la pénombre du soir, Leur abandon les rendent encore plus nus, leurs mains se découvrent, elle décele son trouble, il caresse sa peau fraîche e ... |
![]() | extase amoureuse (Paul Verlaine)C'est l'extase langoureuse, C'est la fatigue amoureuse, C'est tous les frissons des bois Parmi l'étreinte des brises, C'est, vers les ramures grises, Le choeur des petites voix. O le frêle et frais murmure ! Cela gazouille et susurre, Cela ressemble au cri doux Que l'herbe agitée expire... Tu dirais, sous l'eau qui vire, Le roulis sourd des cailloux. Cette âme qui se lamente En cette plainte dormante, C'est la nôtre, n'est-ce pas ? La mienne, dis, et la tienne, Dont s'exhale l'humble antienne Par ce tiède soir, tout bas ? Paul Verlaine | extase amoureuse (Paul Verlaine) (E) C'est l'extase langoureuse, C'est la fatigue amoureuse, C'est tous les frissons des bois Parmi l'étreinte des brises, C'est, vers les ramures grises, Le choeur des petites voix. O le frêle et frais ... |
![]() | Je conserve dans ma chair ton sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières. | (E) Je conserve dans ma chair ton sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières. ... |
![]() | jouissance partagéelongue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... liquides partagés Tu baises mes seins, mon ventre. Je caresse tes cheveux ... Sourires échangés. | jouissance partagée (E) longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... liquides partagés Tu baises mes seins, mon ventre. Je caresse tes cheveux ... Sourires échangés. ... |
![]() | sensation de bien-êtreJe te sens encore, raide et bienfaisant Tu glisses tout doucement dans mes chairs. je ressens une sensation de bien-être, de douceur et de chaleur intime, Tu t’immobilises, puis t'enfonces à nouveau. délicieux envahissement et détente libératrice. Fiché au fond de moi, je te sens frémir je te sens vivre dans ma chair, c’est merveilleux. délicieusement chaud et doux, Tu es planté en moi, immobile. J'ai l’impression d'être remplie. Je te sens doucement diminuer de volume et ressortir lentement, tu t’échappes totalement, dans un agréable glissement mouillé, accompagné d’un flot de secretions amoureuses qui me coule délicieusement entre les fesses. | sensation de bien-être (E) Je te sens encore, raide et bienfaisant Tu glisses tout doucement dans mes chairs. je ressens une sensation de bien-être, de douceur et de chaleur intime, Tu t’immobilises, puis t'enfonces à nouveau. ... |
![]() | unis l'un à l'autreTu es sur moi, tu es en moi, restons ainsi tu m'a inondée de toi. tu m'a comblée dans mon corps cette sensation de puissance et ta semence qui m'envahit, le long de mes cuisses coule l'innocence nos chaleurs enmelées, et nos corps enboitées, nos sourires qui s'echangent et un parfum d'été Enflammée jusqu'au cœur. Tu m'as essoufflée, et nos corps sont heureux. Reste la nuit, pour que triomphe la tendresse nous restons confondus, emmêlés, accrochés l'un à l'autre jusqu'à l'apaisement. n'être qu'un, bien qu'étant deux Naître à nous-mêmes en même temps. la vague fougueuse se retire lentement, nous restons ainsi en silence sans bouger ... unis l'un à l'autre | unis l'un à l'autre (E) Tu es sur moi, tu es en moi, restons ainsi tu m'a inondée de toi. tu m'a comblée dans mon corps cette sensation de puissance et ta semence qui m'envahit, le long de mes cuisses coule l'innocence nos cha ... |
![]() | mon jeune et bel amantTu es mon bel amant, Tu as été ardent, câlin, joueur, félin et attentif. Tu as donné et pris sans retenue. Tu as su user, abuser de mon corps, de mes sens, de mes forces. Je t'ai appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je t'ai offert ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins. Tu es jeune, infatigable de ton corps. Tes premières jouissances ont été rapides, violentes. Les miennes sont venues plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je te sentais te crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous avons fait l'amour longtemps. Tu étais malhabile. Je t'ai fais passer pour un amant exemplaire, Tu m'as remercié de tes caresses appuyées, de tes enlacements enfiévrés, du plaisir que tu ressentais. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Tu n'y étais pour rien. J'avais été là au bon moment, où tu avais besoin de te sentir mâle. Sois ardent, toi mon jeune et bel amant, Sois câlin, joueur, félin et attentif. Donne et prend sans retenue. Sache user, et abuser de mon corps, de mes sens, de mes forces. Je veux t'apprendre des plaisirs différents et nouveaux. Je t'offre ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins. Tu es jeune, infatigable de ton corps. Que tes premières jouissances soient rapides, violentes. Les miennes viendront ensuite, plus sauvages. Entends mes cris rauques quand je te sens te crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Faisons l'amour longtemps. Caresse moi fiévreusement, Sois pervers et imaginatif, je serai passive et classique. Je suis là au bon moment, où tu as besoin de te sentir mâle. | mon jeune et bel amant (E) Tu es mon bel amant, Tu as été ardent, câlin, joueur, félin et attentif. Tu as donné et pris sans retenue. Tu as su user, abuser de mon corps, de mes sens, de mes forces. Je t'ai appris en qu ... |