![]() | Je l'imaginais nue sous une pluie d'étoiles (Bernard Lanza)Je l'imaginais nue sous une pluie d'étoiles, Elle n'était qu'une rose, fragile, entre mes bras ; Le ciel nous protégeait, et la voir là sans voile Faisait cogner mon coeur ; je repoussais le drap. Puis sur sa peau si douce, les mains je promenais, Elle me disait : " Sois sage, attends encore un peu ! ", Je ne l'écoutais guère, le désir m'emmenait Vers ces contrées sauvages où la chair est de feu. Me faisant plus pressant, je pétrissais son corps, Brusquant un peu son âme très pure et romantique; Son regard d'amoureuse semblait me dire : " Plus fort ! Va pour la frénésie, ne me ménage point ! Sois amant merveilleux, fougueux et érotique ! Souvent j'en ai rêvé quand tu étais au loin. " Bernard Lanza | Je l'imaginais nue sous une pluie d'étoiles (Bernard Lanza) (E) Je l'imaginais nue sous une pluie d'étoiles, Elle n'était qu'une rose, fragile, entre mes bras ; Le ciel nous protégeait, et la voir là sans voile Faisait cogner mon coeur ; je repoussais le drap. |
![]() | ton souffleMet tes lèvres sur ma nuque, ton souffle dans mon cou. Avec tes doigts, souligne mes rondeurs. Effleure mon sein, qu'il gonfle sous tes caresses, Donne moi tes lèvres. Enflamme ma bouche Insinue ta langue, qu'elle danse avec la mienne. Affaisse mes bretelles d'une main assurée Fais éclore mon buste, degage mes appats. tes yeux brillent, je le vois, devant mon corps nu. Noie moi de caresses, de tes joues, de tes lèvres. Etire mes vêtements, dechire les, qu'ils s'envolent. Je m'abandonne à toi, toute en ébullition. Caressons nous de sublimes instants, qui donc fera chavirer l'autre. Nos corps se desirent. Je veux sentir ta chair. Viens en moi, je t'en prie. J'ouvre mes ailes pour toi, Tu es là, Je te sens, sillonnes-moi de ton membre, Prend le temps, arretes-toi et sens la caresse de mon ventre. Laisses-toi aller en moi, laisses-moi te recevoir. reprend ta course tendre au plus profond de moi, Maintenant, je suis prête, donne moi ta liqueur de vie Rechauffes mon corps de ta semence chaude, Je reçois ton désir. Je sens ta chaleur dans mon intimité. Restes en moi je t'en prie. Tu t'inquiètes de mes larmes. Mais je pleure de joie. nos regards se croisent et maintenant se sourient. Gardes moi dans tes bras encore quelques instants, ne bouges pas. Une bulle lumineuse nous coupe du monde. Dans quelques minutes, nous reprendrons la route et tu me ramèneras chez moi, heureuse. | ton souffle (E) Met tes lèvres sur ma nuque, ton souffle dans mon cou. Avec tes doigts, souligne mes rondeurs. Effleure mon sein, qu'il gonfle sous tes caresses, Donne moi tes lèvres. Enflamme ma bouche Insinue ta langue, ... |
![]() | Mon plaisir, mon bonheurMon plaisir, mon bonheur ? Etre contre toi Te sentir me frôler, m'entrouvrir ressentir la fermeté de ton désir m'offrir, m'abandonner à toi, te laisser glisser doucement en moi te sentir dans ma chair durcir et grandir investir mon ventre chaud mes jambes écartées pour mieux te recevoir mes jambes resserrées pour mieux te retenir le désir qui monte en moi femme révélée Et dans mon corps, cette sensation de puissance Et ta semence ... qui m'envahit Le long de mes cuisses coule la jouissance | Mon plaisir, mon bonheur (E) Mon plaisir, mon bonheur ? Etre contre toi Te sentir me frôler, m'entrouvrir ressentir la fermeté de ton désir m'offrir, m'abandonner à toi, te laisser glisser doucement en moi te sentir da ... |
![]() | J'attends tout de toi (Sofifee)J'attends tout de toi, tes mains, tes lèvres, ton corps, Mes courbes se tendent du plaisir des étreintes, Et dans mon triangle d'or, je veux que ta sève jaillisse. Je sublime cet instant et je ne dis mot, Je veux tout ton amour, qu'il s'incruste sous ma peau Et que mon âme fragile se mêle à la tienne. Sofifée | J'attends tout de toi (Sofifee) (E) J'attends tout de toi, tes mains, tes lèvres, ton corps, Mes courbes se tendent du plaisir des étreintes, Et dans mon triangle d'or, je veux que ta sève jaillisse. Je sublime cet instant et je ne dis mot, |
![]() | Tu m'accueilles et je viensTu m'accueilles et je viens, lentement, tendrement, Ma beauté ! Ma princesse de feu... je m’enfonce en ton sein. Je te pénètre ou tu me prends. Un paradis de douceur qui me cerne, me boit Tu t’ouvres à moi, tu m'aspires en toi sensation délicieuse et presque douloureuse. Je suis en toi, au plus profond de toi. Je sens la chaleur de ton ventre tout autour de moi, j’appartiens à tes entrailles, je fais partie de toi, je t’habite. Tout s'estompe, je ressussite, je savoure cette douce sensation à l’extrémité de mon être, ce contact intime, cette communion de chairs qui nous soude l’un à l’autre. Tu bouges lentement, tu caresses mon membre, tu me suces, m'enroules et me déroule. Tu te creuses pour moi, de plus en plus profonde ... pour à nouveau te remplir de moi. Tu modules le rythme, tu glisses, légère, agile, tu ondules fluide, féline. tes muscles se contractent et se relâchent, Tu as fermé les yeux, tu te tends, tu te crispes, tu haletes, tu gemis, tu jouis de mon corps... tu vas jouir de moi, je vais jouir de toi. agonie de plaisir, ton plaisir est le mien. J’aime ton corps qui vibre et qui se tend. J’aime les soubresauts qui t’agitent, toi, si belle en ton plaisir. Tu remues, imperceptiblement, ouvre les yeux, cherche les miens. tu me serres de ta bouche amoureuse, juteuse comme une mangue. je sens les contractions qui pulsent dans ta vulve. je me sens emporté, sur le point d’exploser. Je n’en peux plus... je lâche tout ... un fleuve de volupté ... Je t’inonde ... et ce flot déclenche en toi des vagues de plaisir. puis tu t’abas sur moi, haletante. soulagement, liberation, plenitude Je te serre contre moi, je t’étreins. ton visage dans mon cou, ton souffle sur ma nuque. Mes mains dans le creux de tes reins, sur ta peau lisse et douce. Tu es blottie contre moi, inerte et si vivante. Je me sens riche de toi, toujours en toi, apaisé, vidé, comblé, je rêve d’éternité, je veux qu’en cet instant le temps se décompose, Je te sens contre moi, chaude comme une caille, petit animal intrépide, douce et volontaire. Tu me donnes ta douceur, ta tendresse, ta fraîcheur ... tes horizons sont vastes, tu es belle et souveraine... Je t'embrasse, te caresse... Je glisse hors de toi... Je t'aime | Tu m'accueilles et je viens (E) Tu m'accueilles et je viens, lentement, tendrement, Ma beauté ! Ma princesse de feu... je m’enfonce en ton sein. Je te pénètre ou tu me prends. Un paradis de douceur qui me cerne, me boit Tu t& ... |
![]() | Viens contre moi (Edmond Haraucourt)Viens contre moi ! Viens ! Mon bel amant ! Je sens ton désir qui se dresse ! Je m'ouvre à toi ! Viens ! Là... Doucement... Je sens, tout au fond, ta chair qui me presse. Rythme bien ton ardente caresse Au gré de mes balancements, Ô mon âme... Lentement, Prolongeons l'instant d'ivresse. Là... Vite! Plus longtemps ! Je fonds ! Attend, Oui ! j'adore ... Va ! Oui ! Encore ! AH ! Edmond HARAUCOURT | Viens contre moi (Edmond Haraucourt) (E) Viens contre moi ! Viens ! Mon bel amant ! Je sens ton désir qui se dresse ! Je m'ouvre à toi ! Viens ! Là... Doucement... Je sens, tout au fond, ta chair qui me presse. Rythme bien ... |
![]() | le flux et le refluxUne douce penombre, nos corps au ralenti, Tu t'approches, tu m'embrasses, je me laisse emporter. Je ferme les yeux, et m'offre à ta caresse Si lourde, si légère. Le silence d'une plainte. Ce trop plein de désir, Ton souffle dans mon cou, Sous l'écume de chaque mot, l'océan de tendresse, Se frôler l'un dans l'autre, se glisser dans nos chairs. Jusqu'au bout de la nuit il n'y a que nos corps. le flux et le reflux, et de brefs murmures. Comme une plainte. Comme un chant. La douceur de l'autre. Le ciel glisse vers le soir, remonte le matin. Rien d'autre jusqu'au silence. Le point jamais atteint. Tu ne sais rien de moi. Il n'y a pas de fin. | le flux et le reflux (E) Une douce penombre, nos corps au ralenti, Tu t'approches, tu m'embrasses, je me laisse emporter. Je ferme les yeux, et m'offre à ta caresse Si lourde, si légère. Le silence d'une plainte. Ce trop ple ... |
![]() | transportéeEnfonces toi doucement, par glissades subtiles. Je te ressens enfin, en douceur. Flottement. Enfonce toi encore et encore, au plus profond de moi. à présent tu es mien, je suis tienne. Tu allumes un feu qui m'éblouit bien fort J'aime le regard que tu poses sur moi. Je suis prise, transportée, transgressée je te laisse me finir, et c'est bon ! Tu aimes me regarder courir droit à ma perte, La pointe de mes seins redressée fièrement. Je sens ton sperme chaud couler entre mes levres, Douce chaleur liquide, ton foutre qui m'inonde et coule entre mes jambes. Ta douceur m'apaise | transportée (E) Enfonces toi doucement, par glissades subtiles. Je te ressens enfin, en douceur. Flottement. Enfonce toi encore et encore, au plus profond de moi. à présent tu es mien, je suis tienne. Tu allumes un feu qui ... |
![]() | alcove (Catherine lange)Au secret de l'alcôve Quand la rivière s'épanche Que nos deux corps se lovent Et prennent leur revanche Dans le bleu éphémère S'envolent les oiseaux D'une infinie prière D'amour à fleur de peau. Catherine lange | alcove (Catherine lange) (E) Au secret de l'alcôve Quand la rivière s'épanche Que nos deux corps se lovent Et prennent leur revanche Dans le bleu éphémère S'envolent les oiseaux D'une infinie prière D'amour &a ... |
![]() | Enflammée jusqu'au cœurJe m'enfonçe, tu me guide, de ta tendresse. De ton envie. J'entre en toi en douceur comme on entre dans la vague. Je m'enfouis en toi et descend, et descend --------------------------------------------------- Tu es ma flèche, fichée dans ma chair, J'ai le corps frémissant, tendu comme un arc tu remues en moi la terre et le feu, la mer et le vent. --------------------------------------------------- se fondre et se confondre. Et n'être qu'un, bien qu'étant deux Je me donne, tu me prends, ronronnements, feulements. Frôlons nous l'un dans l'autre, glissons dans nos chairs. --------------------------------------------------- Au rythme de ton corps, je me plie sans effort. Courtisane lascive, soumise et attentive Au plus profond de moi, ton sceptre devient roi, --------------------------------------------------- Donne moi ta bouche chaude, j'y introduis ma langue mélangeons nos salives jusqu'à ce que nos corps tanguent --------------------------------------------------- le flux et le reflux, et de brefs murmures. Comme une plainte. Comme un chant. La douceur de l'autre. Je me soulève un peu lorsque tu te retires Et tu reviens te perdre au plus profond de moi, --------------------------------------------------- Je vais et je viens, tu m'absorbes. Je n’en finis pas. les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues. et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits. --------------------------------------------------- Ecoutes mon corps qui respire et vit de plaisir, ma chair qui s'ouvre et se ferme comme un cœur palpitant, les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques. --------------------------------------------------- Tu avales mon corps, Tu ondules, tu m'aspires, je râle, tu gémis. je te fixe, tu souris. Je caresse tes joues empourprées de lumière. Tu me serres, me dévores. Je m’enfonce loin, très loin. Tu m’enroules, me défait, je plonge, me retire. --------------------------------------------------- Regardes. Ecoutes. Touches. Respires. Goûtes. La sueur qui perle à ma peau rougissante. Mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur. Ma bouche affamée qui cherche tes baisers. Les larmes salées que je laisse s'écouler. --------------------------------------------------- Sens, ce frottement délicat irisé de plaisir. ce glissement onctueux, cette penetration lente Je m'enfonce en toi, te penetre, te comble, --------------------------------------------------- Je te sens grossir, durcir et t'allonger le plaisir monte en vagues, mon ventre est en feu. Mes oreilles bourdonnent. Ma tête s'embrase. Tu te retires, laissant le vide en moi. Je me débats, Tu me reprends, complètement, passionnément. --------------------------------------------------- Mon corps collé au tien, je te pénètre, totalement. Je t'investis, brutalement, sans concession, Tu cries, tu râles, je brâme. Jusqu'au bout de la nuit il n'y a que nos corps. ------------------------------------------------ mes jambes écartées pour mieux te recevoir mes jambes resserrées pour mieux te retenir La jouissance monte en moi femme révélée Tu me finis. Je jouis. Le point jamais atteint. ----------------------------------------------------- Rien d'autre jusqu'au silence. Jusqu'à l'épuisement Nous nous aimons. Il n'y a pas de fin. ----------------------------------------------------- Enflammée jusqu'au cœur. Tu m'as essoufflée, et nos yeux sont heureux. | Enflammée jusqu'au cœur (E) Je m'enfonçe, tu me guide, de ta tendresse. De ton envie. J'entre en toi en douceur comme on entre dans la vague. Je m'enfouis en toi et descend, et descend --------------------------------------------------- Tu es ... |
![]() | Le flux et le refluxTu es là, Je te sens, arrete-toi, prend le temps, Je sens ta douce caresse, ce glissement onctueux, cette penetration lente, ce frottement délicat irisé de plaisir. je t'aspire, tu ondules, tu râles, je soupire. Je te serre, te dévore. Tu t’enfonces ... loin, très loin. Je t’enroule, te défais, tu plonges, te retire, et reviens. J'avale ton corps. Le flux et le reflux, les vagues de plaisir, les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine. et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits. Je me donne, tu me prends, ronronnements, feulements. Tu es ma flèche, fichée dans ma chair, J'ai le corps frémissant, tendu comme un arc tu remues en moi la terre et le feu, la mer et le vent. Au rythme de ton corps, je me plie sans effort. Ecoute mon corps qui respire et vit de plaisir, ma chair qui s'ouvre et se ferme comme un cœur palpitant, les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques. Regardes. Ecoutes. Touches. Respires. Goûtes. La sueur qui perle à ma peau rougissante. Mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur. Ma bouche affamée qui cherche tes baisers. Les larmes salées que je laisse s'écouler. Courtisane lascive, soumise et attentive Au plus profond de moi, ton sceptre devient roi, se fondre et se confondre Et n'être qu'un, bien qu'étant deux Se perdre dans l'espace immense Oiseaux légers au gré du vent. Perdre doucement connaissance Naître à nous-mêmes en même temps. Tu t'enfonces en moi, me penetre, me comble, le plaisir monte en vagues, mon ventre est en feu. Tu te retires, laissant le vide. Je me débats, tu me reprends. complètement, passionnément. Ton corps collé au mien tu me pénètres de nouveau, totalement. Maintenant ! ... OUI ! Tu m'as investie, brutalement, sans concession, tu m'as finie. Je jouis. Enflammée jusqu'au cœur. Tu m'as essoufflée, et tes yeux sont heureux. Tu réchauffes mon corps de ta semence chaude, Ne bouge plus. Reste en moi je t'en prie. Gardes moi dans tes bras encore quelques instants, Ne bouge plus. Une bulle lumineuse nous coupe du monde. | Le flux et le reflux (E) Tu es là, Je te sens, arrete-toi, prend le temps, Je sens ta douce caresse, ce glissement onctueux, cette penetration lente, ce frottement délicat irisé de plaisir. je t'aspire, tu ondules, tu râles ... |
![]() | comme une houle (François d'Alayrac et Marion Lubreac)Tu vas et viens en moi, comme une puissante houle, une marée secouée de violentes bourrasques, ballotant mon être consentant au delà de la jouissance, traversant les portes multiples de l’extase Saveur pimentée de ton sexe, Fragrance poivrée de ton désir Tu vas, je te retiens, tu viens, je t'aspire Ton corps houleux se pliant à mes lèvres Oscillation, chavirement de tes pupilles Rivées en mon âme d'étang Sucre de ma peau, sel de ma sueur Perlance de nos transparences François d'Alayrac et Marion Lubreac | comme une houle (François d'Alayrac et Marion Lubreac) (E) Tu vas et viens en moi, comme une puissante houle, une marée secouée de violentes bourrasques, ballotant mon être consentant au delà de la jouissance, traversant les portes multiples de l’ext ... |
![]() | Ecoute mon corpsEcoute mon corps qui respire et qui vit, ma chair qui s'ouvre et se ferme, les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques. Regarde, écoute, touche, respire, goûte. La sueur qui perle à ma peau rougissante. Mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur. Ma bouche affamée qui cherche tes baisers. Les larmes salées que je laisse s'écouler. Jusqu'au bout de la nuit il n'y a que nos corps. le flux et le reflux, et de brefs murmures. Comme une plainte, comme un chant, la douceur de l'autre. Je m'enfonçe, tu me guides, de ta tendresse, de ton envie. Le ciel glisse vers le soir, remonte le matin. Je caresse tes joues empourprées de lumière. Mes oreilles bourdonnent, ma tête s'embrase. Jusqu'à l'épuisement, rien d'autre jusqu'au silence. Le point jamais atteint. Nous nous aimons. Il n'y a pas de fin. | Ecoute mon corps (E) Ecoute mon corps qui respire et qui vit, ma chair qui s'ouvre et se ferme, les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques. Regarde, écoute, touche, r ... |
![]() | comblée de toiTon amour me comble et me remplit C’est un velours, total, une douceur qui m’enveloppe. Tu vas et viens doucement et ta position change C'est une offrande totale. Je te masse doucement de mes muscles intimes Le plaisir monte et tu jouis deux fois Mes jambes se referment sur tes hanches et te maintiennent ancré au plus profond de moi Tu te crispes, tes ongles dans ma peau. Tu te déverses en moi, liberation heureuse Nous revenons sur terre, lentement, Je te quitte doucement, te souris Tu me regardes, tu souris Nous sommes mouillés de notre plaisir, Je suis pleine de toi. | comblée de toi (E) Ton amour me comble et me remplit C’est un velours, total, une douceur qui m’enveloppe. Tu vas et viens doucement et ta position change C'est une offrande totale. Je te masse doucement de mes muscles intimes < ... |
![]() | lent mouvement (Gérard Salert)C'est un lent mouvement parcourant le bassin Telle la houle ondoyant dans son doux va et viens Et qui vous donne envie d'alors prendre la mer Et de jouer ainsi comme la fille de l'air. C'est un pas chaloupant filant un nœud marin Qui s'en vient bien troublant réveiller les instincts Et de la promenade, les voiles se balancent Et dans toute la rade, on mouille de plaisance. Gérard Salert | lent mouvement (Gérard Salert) (E) C'est un lent mouvement parcourant le bassin Telle la houle ondoyant dans son doux va et viens Et qui vous donne envie d'alors prendre la mer Et de jouer ainsi comme la fille de l'air. C'est un pas chaloupant filant un n&oel ... |
![]() | jusqu'au bout de la nuitJusqu'au bout de la nuit il n'y a que nos corps. le flux et le reflux, et de brefs murmures. Comme une plainte. Comme un chant. La douceur de l'autre. Le ciel glisse vers le soir, remonte le matin. Je caresse tes joues empourprées de lumière. Tes oreilles bourdonnent. Ta tête s'embrase. Jusqu'à l'épuisement. Rien d'autre jusqu'au silence. Le point jamais atteint. Nous nous aimons. Il n'y a pas de fin. | jusqu'au bout de la nuit (E) Jusqu'au bout de la nuit il n'y a que nos corps. le flux et le reflux, et de brefs murmures. Comme une plainte. Comme un chant. La douceur de l'autre. Le ciel glisse vers le soir, remonte le matin. Je caresse tes jo ... |
![]() | Au rythme de son corps (Aubepine)Au rythme de son corps Je me plie sans effort. Courtisane lascive, Soumise et attentive Sous ses furieux assauts Chacun de mes orgasmes, Crescendo de plaisirs, Fait monter son désir D'expirer en un dernier spasme. Au plus profond de moi, Son sexe devient roi, Se durcit à l'extrême limite de mes parois, Et lors de l'implosion, Contractions, convulsions, s'emparent de moi, Recevoir sa semence Est ma plus douce jouissance. Aubépine | Au rythme de son corps (Aubepine) (E) Au rythme de son corps Je me plie sans effort. Courtisane lascive, Soumise et attentive Sous ses furieux assauts Chacun de mes orgasmes, Crescendo de plaisirs, Fait monter son désir D'expirer en un dernier spasme. ... |
![]() | Lorsque je viens en toi (Cyr)Quand la nuit noire brille au firmament De l'extase lue sur ton beau visage, Signe d'amour et d'orgasme qui s'engage Lorsque je viens en toi profondément, C'est l'heure du plaisir où s'allument les lampes Et où peu à peu tout tabou s'éteint, Où l'interdit se fond en un vague lointain Et colore en douceur nos lubriques estampes ; C'est l'heure des râles en rut où tombe parfois Un mot salace ou d'amour qui nous communique L'indicible torpeur torride au charme unique Qui glisse sur nos peaux, entre nos doigts... On resterait ainsi des heures, des années, Sans épuiser jamais le bonheur de sentir Nos corps l'un dans l'autre s'appesantir, Sans voir jamais le désir se faner. C'est l'heure du torrent de nos plaisirs à l'unisson, De ma verge tendue au puits humide de ta rose, C'est l'heure du lac limpide de nos cœurs tout choses Qui vibrent ensemble jusqu'aux derniers frissons ; C'est l'heure des sueurs qui en soupirs montent Et alimentent les chemins du jouir en nous, C'est l'heure des cœurs enivrés qui racontent Tes yeux en fièvre, tes reins souples à mes coups... Ô sens dans mon souffle le goût de mon bonheur Qui dans mes bras doux et puissants te ceinture ! Ô croise tes jambes à mes hanches, d'éros pur, Mêle ta langue à la mienne, je cultive ta fleur ! Et je sais que nous garderons entre toutes Ces heures élues en souvenirs inoubliables A faire revivre en d'autres heures si agréables Pour continuer, à l'infini, si belle route... Cyr | Lorsque je viens en toi (Cyr) (E) Quand la nuit noire brille au firmament De l'extase lue sur ton beau visage, Signe d'amour et d'orgasme qui s'engage Lorsque je viens en toi profondément, C'est l'heure du plaisir où s'allument les lampes ... |
![]() | serrer ton corps entre mes bras (Cyr)serrer ton corps entre mes bras Le couvrir de mes mains, de mes lèvres, de ma peau... Et ne pouvoir que l'écrire ou le rêver tout bas Alors qu'en moi s'élève un feu, si fort, si haut ! Ô dieu que je t'aime, c'est pure folie Dans mon sommeil je t'épouse chaque nuit Et m'éveille le matin, ô de toi si dur ! Tendu, gonflé d'un sang que nous avons mêlé Et qui ne demande encore qu'à battre, t'aimer Et fendre tes eaux en de nouvelles aventures... Cyr | serrer ton corps entre mes bras (Cyr) (E) serrer ton corps entre mes bras Le couvrir de mes mains, de mes lèvres, de ma peau... Et ne pouvoir que l'écrire ou le rêver tout bas Alors qu'en moi s'élève un feu, si fort, si haut ! ... |
![]() | Lorsque nous tremblions (Guillevic)Lorsque nous tremblions L'un contre l'autre Lorsque nos corps Devenaient à nous, Lorsque chacun de nous S'appartenait dans l'autre Et qu'ensemble nous avancions, C'était alors aussi La teneur du printemps Qui passait dans nos corps Et qui se connaissait Guillevic | Lorsque nous tremblions (Guillevic) (E) Lorsque nous tremblions L'un contre l'autre Lorsque nos corps Devenaient à nous, Lorsque chacun de nous S'appartenait dans l'autre Et qu'ensemble nous avancions, C'était alors aussi La teneur du printemps Q ... |
![]() | Je T'aime... Moi Non Plus (Serge Gainsbourg)Je t'aime ! Oh oui je t'aime ! Oh mon amour... ------------------------------------- Comme la vague irrésolue Je vais, je vais et je viens entre tes reins et je me retiens ------------------------------------- Tu es la vague, moi l’île nue Tu vas, tu vas et tu viens entre mes reins et je te rejoins ------------------------------------- L’amour physique est sans issue Je vais et je viens entre tes reins Je me retiens ------------------------------------- Non, maintenant viens | Je T'aime... Moi Non Plus (Serge Gainsbourg) (E) Je t'aime ! Oh oui je t'aime ! Oh mon amour... ------------------------------------- Comme la vague irrésolue Je vais, je vais et je viens entre tes reins et je me retiens ---------------------------------- ... |
![]() | tendre détresseEn posant ma poitrine sur la tienne que je presse, J'emprisonne tes jambes en te serrant les fesses; Nous gémissons ensemble d'une tendre détresse, Pris d'une passion commune pour ce qui nous oppresse. Je ramène mes genoux aux côtés de tes hanches, Tes yeux deviennent fous sous cette invasion franche, Je me redresse un peu pour caresser ton corps Et te laisser tanguer entre mes cuisses ouvertes. Tu y allumes un feu qui m'éblouit bien fort Mais j'aime te regarder courir droit à ta perte, La pointe de tes seins redressée fièrement. La danse de tes reins accélère, plus rythmée, Je cueille une auréole, je serre l'autre des dents, Tes nerfs soudain s'affolent, tu t'affaisses essouflée. | tendre détresse (E) En posant ma poitrine sur la tienne que je presse, J'emprisonne tes jambes en te serrant les fesses; Nous gémissons ensemble d'une tendre détresse, Pris d'une passion commune pour ce qui nous oppresse. |
![]() | étreinte sans bruitCollés l'un à l'autre, c'est une étreinte sans bruit. caresses imprécises qui égarent nos mains. Je goute les prémices des sucs qui transpirent, Je la sens frémir, goûter à ces caprices immobiles. le contact est chaud, les pointes sont douces. Je me laisse coulisser au creux de sa tanniere tapissée de sa liqueur douce, je la mouille encore plus, Je la caresse au plus chaud de son envie. L'explosion vient de la succion du puit qu'elle m'ouvre. Je me déverse longuement, diluant mon plaisir dans le sien, La prendre et être pris. Échange total. | étreinte sans bruit (E) Collés l'un à l'autre, c'est une étreinte sans bruit. caresses imprécises qui égarent nos mains. Je goute les prémices des sucs qui transpirent, Je la sens frémir, goûter ... |
![]() | douceur infinieOh oui, je te sens bien, tu t'enfonces dans ma chair, C'est une sensation d'une douceur infinie. Je goûte l'instant. J'aime tes mouvements plus amples, Ta verge plonge en moi et gonfle en meme temps. Elle occupe maintenant mon espace tout entier. Continue, ne viens pas tout de suite ... pas encore... Regarde moi. Pénètre moi, plus profondément, Donne moi le vertige. Je te donne du plaisir, tu me le rends au centuple. Je pense à ce gros gland qui me fouille et que j'aime. Sens la transpiration qui perle entre mes seins, Ecoute le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs Je veux un souvenir de toi dans mon ventre ! Donne moi ta sève ! Maintenant ! Remplis moi de toi ! Je sens que tu viens ! Je me cabre, Je jouis ! Tu t'arrêtes net et crispes ton regard ..... Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Affaisse toi sur moi, j'aime tes grondements d'ours blessés. Laisse ta tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair ton sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières. | douceur infinie (E) Oh oui, je te sens bien, tu t'enfonces dans ma chair, C'est une sensation d'une douceur infinie. Je goûte l'instant. J'aime tes mouvements plus amples, Ta verge plonge en moi et gonfle en meme temps. Elle occupe ma ... |
![]() | Le flux et le refluxTu m'accueilles, et je viens ! Un glissement onctueux, une penetration lente, un frottement délicat irisé de plaisir. Tu ondules, tu m'aspires, je râle, tu gémis. Tu me serres, me dévores. Je m’enfonce ... loin, très loin. Tu m’enroules, me défais, je plonge, me retire, et reviens. Tu avales mon corps. J'aime tes caresses intimes Le flux et le reflux, les vagues de plaisir, les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine. et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits. Je me donne, tu me prends, ronronnements, feulements. Je suis ta flèche, fichée dans ta chair, Tu as le corps frémissant, tendu comme un arc Je remue en toi la terre et le feu, la mer et le vent. Au rythme de mon corps, tu te plie sans effort. J'ecoute ton corps qui respire et vit de plaisir, ta chair qui s'ouvre et se ferme comme un cœur palpitant, les draps qui se froissent, nos pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques. Regardes. Ecoutes. Touches. Respires. Goûtes. La sueur qui perle à nos peaux rougissantes. Mon goût de mâle, mon odeur, ma chaleur. Ma bouche affamée qui cherche tes baisers. Les larmes salées que tu laisses s'écouler. Courtisane lascive, soumise et attentive Au plus profond de toi, mon sceptre devient roi, se fondre et se confondre Et n'être qu'un, bien qu'étant deux Se perdre dans l'espace immense Oiseaux légers au gré du vent. Perdre doucement connaissance Naître à nous-mêmes en même temps. Je m'enfonce en toi, te penetre, te comble, le plaisir monte en vagues, ton ventre est en feu. Je me retire, laissant le vide. Tu te débats, tu me reprends. complètement, passionnément. Ton corps collé au mien, je te pénètre de nouveau, totalement. Tu es prête ? Maintenant ! ... OUI ! Je t'ai investie, brutalement, sans concession, tu m'as finie. Je jouis. Enflammée jusqu'au cœur. Je t'ai essoufflée, et tes yeux sont heureux. Je réchauffe ton corps de ma semence chaude, Ne bougeons plus. Une bulle lumineuse nous coupe du monde. | Le flux et le reflux (E) Tu m'accueilles, et je viens ! Un glissement onctueux, une penetration lente, un frottement délicat irisé de plaisir. Tu ondules, tu m'aspires, je râle, tu gémis. Tu me serres, me dévores ... |
![]() | Je t'imaginais (Bernard Lanza)Je t'imaginais nue sous une pluie d'étoiles, Tu n'étais qu'une rose, fragile, entre mes bras ; Le ciel nous protégeait, et te voir là sans voile Faisait battre mon coeur ; je repoussais le drap. Puis sur ta peau si douce, mes mains je promenais, Tu me disais : " Sois sage, attends encore un peu ! ", Je ne t'écoutais guère, le désir m'emmenait Vers ces contrées sauvages où la chair est de feu. Me faisant plus pressant, je pétrissais ton corps, Brusquant un peu ton âme très pure et romantique; Ton regard d'amoureuse semblait me dire : " Plus fort ! Va pour la frénésie, ne me ménage point ! Sois amant merveilleux, fougueux et érotique ! Souvent j'en ai rêvé quand tu étais au loin. " Bernard Lanza | Je t'imaginais (Bernard Lanza) (E) Je t'imaginais nue sous une pluie d'étoiles, Tu n'étais qu'une rose, fragile, entre mes bras ; Le ciel nous protégeait, et te voir là sans voile Faisait battre mon coeur ; je repoussais le drap. ... |
![]() | Le soleil irradie (Fleur de plume)je te sens, mon vigoureux amant, Tu es dur et moelleux ! Je te veux long en moi ! Entre, heureux, dans mes chairs Investis moi, ensemence ma terre dessine notre monde et nos lois ! oh oui, plus loin, Viens, viens... ne te retiens plus, gonfle ta verge altière et prends mes seins, pommes rondes. quittons la terre, viens, viens, allons ensemble au delà des nuages, mon amour, viens ! Encore, encore ! Oui ! ! ! Le soleil irradie... Fleur de plume | Le soleil irradie (Fleur de plume) (E) je te sens, mon vigoureux amant, Tu es dur et moelleux ! Je te veux long en moi ! Entre, heureux, dans mes chairs Investis moi, ensemence ma terre dessine notre monde et nos lois ! oh oui, plus loin, Viens, viens. ... |
![]() | Brûler de caresses et de jeux (Cyr)Brûler de caresses et de jeux, de corps à corps jusqu'à l'épuisement Ouïr tes encore et tes gémissements, savourer le plaisir que nous nous donnons ; Lire dans tes yeux les sourires aphones déclenchés par mes mouvements puissants ; Me laisser aller, à ta langue, si sensuelle de troublants aveux, Et quand tu t'empales et tangues, si belle, trop bonne ! mon dieu ! Ah ! Dieu que tu es belle, si lisse, humide, offerte, fondante ! Tu m'excites quand, d'une queue tendue et bien ferme, en toi j'entre C'est bon la vie, l'insouciance avec toi mon amour : Profiter de nos résonances, même juste un petit jour ; Prendre le temps de se dire la belle passion qu'on se porte Et jusque dans nos soupirs, comment loin on se transporte ; Et recommencer nos ébats purs bonheurs Jusqu'à ce que sonne l'heure De nous séparer, envoûtés de savoir que l'on va se revoir... Cyr | Brûler de caresses et de jeux (Cyr) (E) Brûler de caresses et de jeux, de corps à corps jusqu'à l'épuisement Ouïr tes encore et tes gémissements, savourer le plaisir que nous nous donnons ; Lire dans tes yeux les sourires aphones d&e ... |
![]() | ma princesse de feuTon corps est doux, ton frémissement est mien, ma beauté, ma princesse de feu... tu me laisses explorer le brasier de ton ventre, ta chaleur infernale... Tu t'ouvres comme l'orchidée. tu gemis, tu m'accueilles, tu m'aspires Oh ma reine, mes mains te rendent honneur, se plaquent sur tes chairs. Ton corps comme un arc ploie sous mes assauts. Tu cries ta jouissance. Une étincelle. Le néant. Reste la nuit, pour que triomphe la tendresse | ma princesse de feu (E) Ton corps est doux, ton frémissement est mien, ma beauté, ma princesse de feu... tu me laisses explorer le brasier de ton ventre, ta chaleur infernale... Tu t'ouvres comme l'orchidée. tu gemis, ... |
![]() | Ecoute mon corps (Arthémisia)Ecoutes mon corps qui respire et qui vit ! ma chair qui s'ouvre et se ferme comme un cœur qui palpite, les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques. Sens, ecoute, respire, goûte ... La sueur qui perle à ma peau rougissante. Mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur. Ma bouche affamée qui cherche tes baisers. Les larmes salées que je laisse s'écouler. Tu t'approches ... lentement. Je te ressens enfin, Tu me penetre doucement, par glissades subtiles. Tu t'enfonces, encore et encore, au plus profond de moi. à présent tu es mien, je suis tienne. J'aime le regard que tu poses sur moi. Je suis prise, je te laisse me finir, Je suis remplie de toi, transportée, transgressée et c'est bon ! J'aime la tendre caresse de tes mains sur mes seins, la dureté de ton sexe qui glisse dans mes chairs Jusqu'au bout de la nuit il n'y a que nos corps. le flux et le reflux, et de brefs murmures. Comme une plainte. Comme un chant. La douceur de l'autre. tu t'enfonçe, je te guide, de ma tendresse, de mon envie. Le ciel glisse vers le soir, remonte le matin. tu caresses mes joues empourprées de lumière. Je jouis et gémis. Mon ventre tressaille. Et je te sens venir Tu te bloques, tu palpites j'aime ton regard éperdu au moment de l'orgasme, ta verge gonflée de sève qui se vide dans mon ventre, Douce chaleur liquide qui m'irradie de chaleur. Ta douceur m'apaise. Nous nous aimons. Il n'y a pas de fin. Je ferme les yeux. Cette dernière image de toi, je la porte en moi, infini paysage, de ton émoi, de notre émoi Ton sexe y est raidi, flèche brune en ma chair. Si je ferme les yeux, c’est pour garder en moi ton levant radieux d’animal aux abois. ton sexe balnéaire, me noie. Je te bois. Arthémisia | Ecoute mon corps (Arthémisia) (E) Ecoutes mon corps qui respire et qui vit ! ma chair qui s'ouvre et se ferme comme un cœur qui palpite, les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques. ... |
![]() | Il me colle- Mais, que faites vous ? - Non Arrêtez ! on ne peut pas faire çà... - je n'ai pas de protection ! - Juste un peu ! S'il vous plait ! - j'ai juste besoin de me sentir en vous quelques instants... - S'il vous plaît ! Arrêtez, je vous en supplie, - Oh Mon Dieu ... le sperme... à l'int...érieur de moi... | Il me colle (E) - Mais, que faites vous ? - Non Arrêtez ! on ne peut pas faire çà... - je n'ai pas de protection ! - Juste un peu ! S'il vous plait ! - j'ai juste besoin de me sentir en vous quelques instants... - S ... |
![]() | dans la prière (Germain Nouveau)Elle était à genoux et montrait son derrière Dans le receuillement profond de la prière. Pour le mieux contempler j'approchai de son banc: Sous la jupe levée il me sembla si blanc Que dans le temple vide où nulle ombre importune N'apparaissait au loin par le bleu clair de lune, Sans troubler sa ferveur je me fis son amant. Elle priait toujours. Je perçus vaguement Qu'elle bénissait Dieu dans le doux crépuscule. Et je n'ai pas trouvé cela si ridicule. Germain Nouveau Tu étais à genoux et montrait ton derrière Dans le receuillement profond de la prière. Pour le mieux contempler j'approchai de ton banc: Sous ta jupe levée il me sembla si blanc Que dans le temple vide où nulle ombre importune N'apparaissait au loin par le bleu clair de lune, Sans troubler ta ferveur je me fis ton amant. Tu priais toujours. Je perçus vaguement que tu bénissais Dieu dans le doux crépuscule. Et je n'ai pas trouvé cela si ridicule. Germain Nouveau | dans la prière (Germain Nouveau) (E) Elle était à genoux et montrait son derrière Dans le receuillement profond de la prière. Pour le mieux contempler j'approchai de son banc: Sous la jupe levée il me sembla si blanc Que dans ... |
![]() | communionSaisis ma bouche chaude, introduis-y ta langue mélangeons nos salives jusqu'à ce que nos corps tanguent Enfouis toi en moi, investis mon ventre chaud de plus en plus fort, de plus en plus loin jusqu'à l'orgasme | communion (E) Saisis ma bouche chaude, introduis-y ta langue mélangeons nos salives jusqu'à ce que nos corps tanguent Enfouis toi en moi, investis mon ventre chaud de plus en plus fort, de plus en plus loin jusqu'à l ... |
![]() | comme une semence qui germeTu glisses entre mes jambes une main chaude et froide. Tu dessines sur ma peau des oiseaux, des cascades, Tu souffles des orages sur les méandres de mes veines, Tu fais porter ma voix plus loin que le ciel. Tu m’aimes. Tu serres nos corps jusqu’à la douleur. Tu dessines dans le vide des arabesques d’or. Le sol, le tapis, deviennent un champ immense où ta voix me fait l’amour entre un cri et un soupir… Je t’aime. Passé ton genou où mon sexe te creuse, comme une semence qui germe en soulevant la terre, Il remonte vers ton ventre comme vers une ruche endormie. Plus haut ta peau est si claire que tes jambes en sont nues et mon regard s'y s'use comme au plus tranchant d'un éclat de soleil. Au-delà, je sens ta douce lingerie qui sert à t'offrir à moi et à colorer mon désir. Tes cuisses, douces comme la soie, se desserrent et je sens maintenant la ligne de partage de ta chair. Et c'est enfin la pleine rivière que je remonte sans effort, parce que tes seins s'y élèvent comme deux cailloux à fleur d'eau. Je te pénètre ... un peu, c'est trop peu. Deux fois, c'est mieux. Trois fois, tu soupires. Quatre fois, je t'inspire. Cinq fois, tu expires Je suis dans ton ventre. J'habite soudain en toi. mon sexe en son antre, comme un espace inconnu, une autre voie... A ton étonnement succède l'action, ma verge brandie dans ton sexe en fusion, extrême onction. Sueur, jouissance, passion ! | comme une semence qui germe (E) Tu glisses entre mes jambes une main chaude et froide. Tu dessines sur ma peau des oiseaux, des cascades, Tu souffles des orages sur les méandres de mes veines, Tu fais porter ma voix plus loin que le ciel. Tu m’aimes ... |
![]() | transportéeEnfonces toi doucement, par glissades subtiles. Je te ressens enfin, en douceur. Flottement. Enfonce toi encore et encore, au plus profond de moi. à présent tu es mien, je suis tienne. Tu allumes un feu qui m'éblouit bien fort J'aime le regard que tu poses sur moi. Je suis prise, transportée, transgressée je te laisse me finir, et c'est bon ! Tu aimes me regarder courir droit à ma perte, La pointe de mes seins redressée fièrement. Je sens ton sperme chaud couler entre mes levres, Douce chaleur liquide, ton foutre qui m'inonde et coule entre mes jambes. Ta douceur m'apaise | transportée (E) Enfonces toi doucement, par glissades subtiles. Je te ressens enfin, en douceur. Flottement. Enfonce toi encore et encore, au plus profond de moi. à présent tu es mien, je suis tienne. Tu allumes un feu qui ... |
![]() | offrandeSon corps peu à peu s'est offert, telle une fleur au printemps. une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son ventre etait doux, chaud et etroit, Son souffle etait lent, j'étais en elle et plus rien ne comptait Elle avait les yeux fermés, offerte, la bouche entrouverte, une main enfouie dans ses cheveux, je lui caressais son visage, lui mordillais les levres, doucement le rythme s'accelera, Elle était maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais pas son regard, sublime d'etonnement, de satisfaction, de plaisir naissant. je sentais le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore, | offrande (E) Son corps peu à peu s'est offert, telle une fleur au printemps. une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son ventre etait doux, chaud et etroit, Son souffle etait lent, j'étais en ... |
![]() | Le flux et le refluxTu m'accueilles, et je viens ! Un glissement onctueux, une penetration lente, un frottement délicat irisé de plaisir. Tu ondules, tu m'aspires, je râle, tu gémis. Tu me serres, me dévores. Je m’enfonce ... loin, très loin. Tu m’enroules, me défais, je plonge, me retire, et reviens. Tu avales mon corps. J'aime tes caresses intimes Le flux et le reflux, les vagues de plaisir, les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine. et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits. Je me donne, tu me prends, ronronnements, feulements. Je suis ta flèche, fichée dans ta chair, Tu as le corps frémissant, tendu comme un arc Je remue en toi la terre et le feu, la mer et le vent. Au rythme de mon corps, tu te plie sans effort. J'ecoute ton corps qui respire et vit de plaisir, ta chair qui s'ouvre et se ferme comme un cœur palpitant, les draps qui se froissent, nos pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques. Regardes. Ecoutes. Touches. Respires. Goûtes. La sueur qui perle à nos peaux rougissantes. Mon goût de mâle, mon odeur, ma chaleur. Ma bouche affamée qui cherche tes baisers. Les larmes salées que tu laisses s'écouler. Courtisane lascive, soumise et attentive Au plus profond de toi, mon sceptre devient roi, se fondre et se confondre Et n'être qu'un, bien qu'étant deux Se perdre dans l'espace immense Oiseaux légers au gré du vent. Perdre doucement connaissance Naître à nous-mêmes en même temps. Je m'enfonce en toi, te penetre, te comble, le plaisir monte en vagues, ton ventre est en feu. Je me retire, laissant le vide. Tu te débats, tu me reprends. complètement, passionnément. Ton corps collé au mien, je te pénètre de nouveau, totalement. Tu es prête ? Maintenant ! ... OUI ! Je t'ai investie, brutalement, sans concession, tu m'as finie. Je jouis. Enflammée jusqu'au cœur. Je t'ai essoufflée, et tes yeux sont heureux. Je réchauffe ton corps de ma semence chaude, Ne bougeons plus. Une bulle lumineuse nous coupe du monde. | Le flux et le reflux (E) Tu m'accueilles, et je viens ! Un glissement onctueux, une penetration lente, un frottement délicat irisé de plaisir. Tu ondules, tu m'aspires, je râle, tu gémis. Tu me serres, me dévores ... |
![]() | lent mouvement (Gérard Salert)C'est un lent mouvement parcourant le bassin Telle la houle ondoyant dans son doux va et viens Et qui vous donne envie d'alors prendre la mer Et de jouer ainsi comme la fille de l'air. C'est un pas chaloupant filant un nœud marin Qui s'en vient bien troublant réveiller les instincts Et de la promenade, les voiles se balancent Et dans toute la rade, on mouille de plaisance. Gérard Salert | lent mouvement (Gérard Salert) (E) C'est un lent mouvement parcourant le bassin Telle la houle ondoyant dans son doux va et viens Et qui vous donne envie d'alors prendre la mer Et de jouer ainsi comme la fille de l'air. C'est un pas chaloupant filant un n&oel ... |
![]() | l'île nue (Serge Gainsbourg)Comme la vague irrésolue Je vais et je viens entre tes reins Et je me retiens --------------------------------- Tu es la vague, moi l'île nue Tu vas et tu viens entre mes reins Et je te rejoins --------------------------------- L'amour physique est sans issue Je vais et je viens entre tes reins Je me retiens --------------------------------- Non ! maintenant ! Viens ! Serge Gainsbourg | l'île nue (Serge Gainsbourg) (E) Comme la vague irrésolue Je vais et je viens entre tes reins Et je me retiens --------------------------------- Tu es la vague, moi l'île nue Tu vas et tu viens entre mes reins Et je te rejoins |
![]() | moment fortC'est un moment fort où se reveille l'eau qui dort Un moment clair où je me confonds a ta chair C'est le feu et la soie C'est le vent qui court sous la peau Et c'est t'apprendre avec les doigts qui me rend tout chose C'est comme un mal en moi qui m'effraie qui me tord Sens m'encore et fais moi perdre pied Dans ces eaux troubles fais-moi plonger Me garder en toi le souffle court figer la pose Les yeux noyés comme deux mutants sous hypnose C'est comme un mal en toi qui te pèse et te mord Baise m'encore et fais-moi tournoyer Dans ces eaux sombres fais-moi plonger C'est se taire et fuir s'offrir à temps Partir avant de découvrir D'autres poisons dans d'autres villes Et en finir de ces voyages immobiles. Etienne Daho Je t'accueille et tu viens, lentement, tendrement, Tu t’enfonces en mon sein. Tu me pénètres ou je te prends. Sens-tu ma douceur qui te cerne, qui te boit Je m’ouvre à toi et te dévores. sensation délicieuse et presque douloureuse. Laisse moi te serrer de mes jambes, reste tranquille un instant sonde en moi mes moindres méandres. Je te sens fort, périlleux, fougueux. Prends-moi fort, bien au fond Tu es en moi, au plus profond de moi. Sens-tu la chaleur de mon ventre tout autour de toi, Tu appartiens à mes entrailles, Tu fais partie de moi, tu m’habites. Tout s'estompe, je ressussite, Laisse-toi aller ! je suis tout à toi. prends-moi profondément. Inonde-moi de ta fierté masculine ! Tu es mon bel homme! | moment fort (E) C'est un moment fort où se reveille l'eau qui dort Un moment clair où je me confonds a ta chair C'est le feu et la soie C'est le vent qui court sous la peau Et c'est t'apprendre avec les doigts qui me rend tout cho ... |
![]() | étreinte sans bruitCollés l'un à l'autre, c'est une étreinte sans bruit. Je suçe dans ta bouche ta langue avec délice. caresses imprécises qui égarent nos mains. mes doigts caressent ta peau si fine et délicate. je m'abreuve du mouvement de tes cheveux. Tu sens bon. Je sens ta chair souple glisser contre la mienne. J'entrevois la naissance d'un sein. c'est toi qui me guide vers ton intimité. Je goute les prémices des sucs qui transpirent, j'ouvre patiemment une fente qui se gonfle de plaisir. Je la sens frémir, goûter à ces caprices immobiles. tes seins contre ma poitrine. le contact est chaud, tes pointes sont douces. Je m'avançe au creux de ton intimité, je m'enfonce en toi. Je me laisse coulisser au creux de ta tanniere Je perçois ta liqueur douce, qui coule le long de tes chairs roses. je te mouille encore plus, j'observe tes seins se tendre, mon sexe fusionne au tien. Je te caresse au plus chaud de ton envie. L'explosion vient de la succion du puit que tu m'ouvres. Je me déverse en toi, longuement, diluant mon plaisir dans le tien, Te prendre et être pris. Échange total. | étreinte sans bruit (E) Collés l'un à l'autre, c'est une étreinte sans bruit. Je suçe dans ta bouche ta langue avec délice. caresses imprécises qui égarent nos mains. mes doigts caressent ta peau si f ... |
![]() | douceur infinieOh oui, je te sens bien, tu t'enfonces dans ma chair, C'est une sensation d'une douceur infinie. Je goûte l'instant. J'aime tes mouvements plus amples, Ta verge plonge en moi et gonfle en meme temps. Elle occupe maintenant mon espace tout entier. Continue, ne viens pas tout de suite ... pas encore... Regarde moi. Pénètre moi, plus profondément, Donne moi le vertige. Je te donne du plaisir, tu me le rends au centuple. Je pense à ce gros gland qui me fouille et que j'aime. Sens la transpiration qui perle entre mes seins, Ecoute le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs Je veux un souvenir de toi dans mon ventre ! Donne moi ta sève ! Maintenant ! Remplis moi de toi ! Je sens que tu viens ! Je me cabre, Je jouis ! Tu t'arrêtes net et crispes ton regard ..... Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Affaisse toi sur moi, j'aime tes grondements d'ours blessés. Laisse ta tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair ton sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières. | douceur infinie (E) Oh oui, je te sens bien, tu t'enfonces dans ma chair, C'est une sensation d'une douceur infinie. Je goûte l'instant. J'aime tes mouvements plus amples, Ta verge plonge en moi et gonfle en meme temps. Elle occupe ma ... |
![]() | Je t'imaginais (Bernard Lanza)Je t'imaginais nue sous une pluie d'étoiles, Tu n'étais qu'une rose, fragile, entre mes bras ; Le ciel nous protégeait, et te voir là sans voile Faisait battre mon coeur ; je repoussais le drap. Puis sur ta peau si douce, mes mains je promenais, Tu me disais : " Sois sage, attends encore un peu ! ", Je ne t'écoutais guère, le désir m'emmenait Vers ces contrées sauvages où la chair est de feu. Me faisant plus pressant, je pétrissais ton corps, Brusquant un peu ton âme très pure et romantique; Ton regard d'amoureuse semblait me dire : " Plus fort ! Va pour la frénésie, ne me ménage point ! Sois amant merveilleux, fougueux et érotique ! Souvent j'en ai rêvé quand tu étais au loin. " Bernard Lanza | Je t'imaginais (Bernard Lanza) (E) Je t'imaginais nue sous une pluie d'étoiles, Tu n'étais qu'une rose, fragile, entre mes bras ; Le ciel nous protégeait, et te voir là sans voile Faisait battre mon coeur ; je repoussais le drap. ... |
![]() | Brûler de caresses et de jeux (Cyr)Brûler de caresses et de jeux, de corps à corps jusqu'à l'épuisement Ouïr tes encore et tes gémissements, savourer le plaisir que nous nous donnons ; Lire dans tes yeux les sourires aphones déclenchés par mes mouvements puissants ; Me laisser aller, à ta langue, si sensuelle de troublants aveux, Et quand tu t'empales et tangues, si belle, trop bonne ! mon dieu ! Ah ! Dieu que tu es belle, si lisse, humide, offerte, fondante ! Tu m'excites quand, d'une queue tendue et bien ferme, en toi j'entre C'est bon la vie, l'insouciance avec toi mon amour : Profiter de nos résonances, même juste un petit jour ; Prendre le temps de se dire la belle passion qu'on se porte Et jusque dans nos soupirs, comment loin on se transporte ; Et recommencer nos ébats purs bonheurs Jusqu'à ce que sonne l'heure De nous séparer, envoûtés de savoir que l'on va se revoir... Cyr | Brûler de caresses et de jeux (Cyr) (E) Brûler de caresses et de jeux, de corps à corps jusqu'à l'épuisement Ouïr tes encore et tes gémissements, savourer le plaisir que nous nous donnons ; Lire dans tes yeux les sourires aphones d&e ... |
![]() | ma princesse de feuTon corps est doux, ton frémissement est mien, ma beauté, ma princesse de feu... tu me laisses explorer le brasier de ton ventre, ta chaleur infernale... Tu t'ouvres comme l'orchidée. tu gemis, tu m'accueilles, tu m'aspires --------------------------------- - Oh Oui ! Viens ! - viens en moi ! Oh mon roi --------------------------------- Oh ma reine, mes mains te rendent honneur, se plaquent sur tes chairs. Ton corps comme un arc ploie sous mes assauts. Tu cries ta jouissance. Une étincelle. Le néant. Reste la nuit, pour que triomphe la tendresse | ma princesse de feu (E) Ton corps est doux, ton frémissement est mien, ma beauté, ma princesse de feu... tu me laisses explorer le brasier de ton ventre, ta chaleur infernale... Tu t'ouvres comme l'orchidée. tu gemis, ... |