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samedi 27 décembre 2025 - 19h03
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saintes gorges


Gorges ceintes Saintes gorges
Seins gorgés de sucre d'orge
Seins gonflés qui se rengorgent
Fruits sains de nos ultimes illusions
Car là vit la source Le secret y trouve asile
Ces formes jamais définitives
Sont gardées comme dans une armoire
Remplie de cotons et de voiles
Embaumées d’odeurs de femmes
Toute la sphéricité du monde
Concentrée dans ces creusets
Pour tous tendres doux apaisants
Et toujours sensiblement différents
Poitrine virginale déjà développée
Respirant la santé et le désir
saintes gorges (E)
Gorges ceintes Saintes gorges
Seins gorgés de sucre d'orge
Seins gonflés qui se rengorgent
Fruits sains de nos ultimes illusions
Car là vit la source Le secret y trouve asile
Ces formes jamais d&eac ...

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mes rondeurs (Arianne)


Des doigts de ta main souligne mes rondeurs.
Effleure moi, Effleure le contour de mes seins,
que tes mains douces devinent mes courbes.
Enserre mon corps troublé de tes bras,
Enserre le fermement mais ne le brise pas.
Savoure moi, Savoure la douceur de mes seins,
Aie des gestes voluptueux, habiles. sois délicat.
Ne t’arrête pas, écoute le murmure de ma voix.
Effleure mon sein, qu'il gonfle sous tes caresses,
Offre moi tes lèvres et enflamme ma bouche
mes rondeurs (Arianne) (E)
Des doigts de ta main souligne mes rondeurs.
Effleure moi, Effleure le contour de mes seins,
que tes mains douces devinent mes courbes.
Enserre mon corps troublé de tes bras,
Enserre le fermement mais ne le brise ...

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les contours de mon corps


Tes mains redessinent les contours de mon corps,
en apprennent les creux, en découvrent les courbes,
des boutons qui cedent, ta chemise que j'ecarte,
J'abandonne ta bouche et caresse ton ventre

Un souffle, un gémissement, Un frisson, un soupir,
Une plainte étouffée, la caresse de mon membre,
De légers tremblements et puis, un presque cri
quand ta main brûlante se referme sur lui

Puis mes mains vagabondes remodèlent ton corps,
le galbe d'une hanche, la rondeur d'une cuisse,
et je sens le velours de ta langue qui glisse
en même temps sur ma peau enfiévrée...

Et ce plaisir qui monte, qui dure et s'éternise,
et ces frémissements qui n'en finissent pas.
Je te prie, te supplie et t'implore,
Je vais mourir d'amour, d'attente et de désir...
les contours de mon corps (E)
Tes mains redessinent les contours de mon corps,
en apprennent les creux, en découvrent les courbes,
des boutons qui cedent, ta chemise que j'ecarte,
J'abandonne ta bouche et caresse ton ventre

Un souffle, un ...

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univers de liqueur (Paul Eluard)


Dans le lit ton corps se simplifie
Sexe liquide univers de liqueur
Liant des flots qui sont auteur de corps
Entiers complets de la nuque aux talons
Grappe sans peau grappe-mère en travail
Grappe servile et luisante de sang
Entre les seins les cuisses et les fesses
Régentant l’ombre et creusant la chaleur
Lèvre étendue à l’horizon du lit
Sans une éponge pour happer la nuit
Et sans sommeil pour imiter la mort.
Frapper la femme monstre de sagesse
Captiver l’homme à force de patience
Doucer la femme pour éteindre l’homme
Tout contrefaire afin de tout réduire
Autant rêver d’être seul et aveugle.

Paul Eluard
univers de liqueur (Paul Eluard) (E)
Dans le lit ton corps se simplifie
Sexe liquide univers de liqueur
Liant des flots qui sont auteur de corps
Entiers complets de la nuque aux talons
Grappe sans peau grappe-mère en travail
Grappe servile et luisant ...

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Ta poitrine m'est offerte, je ne reste point inerte
devant tant de beauté à caresser, lécher, sucer !
J'y met toute mon âme et tu te pâmes
agrippant mes cheveux, sensuel aveux...
(E)
Ta poitrine m'est offerte, je ne reste point inerte
devant tant de beauté à caresser, lécher, sucer !
J'y met toute mon âme et tu te pâmes
agrippant mes cheveux, sensuel aveux... ...

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Sous ce tissu léger


Je ne te veux encore qu'à peine dévêtue,
Juste un peu de désordre semé à tes atours.
Ce n'est qu’un peu plus tard que je te verrai nue,
Si douce est cette attente qui précède l'Amour !

Ma main cherche ton sein qui se tend et se dresse
Sous ce tissu léger de soie ou de satin …

Ton corsage est ouvert sur tes formes divines,
Ta jupe est remontée au plus haut qui se puisse.
Ma bouche, tour à tour, prend tes pointes mutines,
Tandis que de ta main, tu me guides à ta cuisse.

Durant un long baiser où se cherchent nos langues,
Tes jambes lentement, s'ouvrent à mes caresses.
Il n'est pas temps encore d’aller à ce triangle,
Il nous faut prolonger l'attente de l'ivresse.

De mes doigts je te frôle, sur cette peau si douce,
A quelques millimètres de ce velours intime,
Tournant et retournant sans que je ne le touche,
Amenant nos désirs au point le plus ultime
Sous ce tissu léger (E)
Je ne te veux encore qu'à peine dévêtue,
Juste un peu de désordre semé à tes atours.
Ce n'est qu’un peu plus tard que je te verrai nue,
Si douce est cette attente qui préc&eg ...

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mon corps désirant


Mon corps désirant s'ouvre à tes mains
à ta bouche à tes doigts
s'offrant tout entier à ton désir brûlant
il attend frémissant
que tu sois violent et doux
audacieux et tendre
l'explorateur avide de mon corps désirant
mon corps désirant (E)
Mon corps désirant s'ouvre à tes mains
à ta bouche à tes doigts
s'offrant tout entier à ton désir brûlant
il attend frémissant
que tu sois violent et doux
audacieux ...

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tourterelles vivantes (Pierre louys)


Je t'ai ouvert ma tunique
et t'ai présenté mes seins tièdes et doux,
ainsi qu'on offre à la déesse
une paire de tourterelles vivantes.
Aime-les bien, je les aime tant !
Ce sont des chéris, des petits enfants.
Je m'occupe d'eux quand je suis seule.
Je joue avec eux; je leur fais plaisir.
Je les lave avec du lait.
Je les poudre avec des fleurs.
Mes cheveux fins qui les essuient
sont chers à leurs petits bouts.
Je les caresse en frissonnant.
Je les couche dans de la laine.
Sois leur nourrisson, mon amour
et, puisqu'ils sont si loin de ma bouche,
donne-leur des baisers de ma part.

Pierre louys
tourterelles vivantes (Pierre louys) (E)
Je t'ai ouvert ma tunique
et t'ai présenté mes seins tièdes et doux,
ainsi qu'on offre à la déesse
une paire de tourterelles vivantes.
Aime-les bien, je les aime tant !
Ce sont des ch&e ...

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M'aimez-vous ? (Claire Rousset-Lys)


Ce beau sein sur ma bouche, Qu'il est pur !
Ce bouton que je touche, Qu'il est dur !
Ah ! laissez-moi descendre au-dessous;
Laissez-moi vous surprendre...
M'aimez-vous ?
M'aimez-vous ? (Claire Rousset-Lys) (E)
Ce beau sein sur ma bouche, Qu'il est pur !
Ce bouton que je touche, Qu'il est dur !
Ah ! laissez-moi descendre au-dessous;
Laissez-moi vous surprendre...
M'aimez-vous ? ...

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tendres prairies (d'après Paul Eluard)


Le paysage nu où je vivrai longtemps
A de tendres prairies où votre chaleur repose
Des sources où vos seins font miroiter le jour
Des chemins où votre bouche rit à une autre bouche

Des bois où les oiseaux entrouvent vos paupières
Sous un ciel réfléchi par votre front sans nuages
Mon unique univers, ma légère accordée
Au rythme de nature votre chair nue durera.

Paul Eluard
tendres prairies (d'après Paul Eluard) (E)
Le paysage nu où je vivrai longtemps
A de tendres prairies où votre chaleur repose
Des sources où vos seins font miroiter le jour
Des chemins où votre bouche rit à une autre bouche

Des ...

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son élixir


J'adore ce beau sein, qui coule dans ma bouche.
Je peux sentir sa pointe, palpitant sous mes touches.
J'essaie de le contenir entier entre mes lèvres ;
Son grain prêt à bondir, sous l'effet de ma fièvre.
Sucer son élixir, c'est la joie de mon œuvre...
son élixir (E)
J'adore ce beau sein, qui coule dans ma bouche.
Je peux sentir sa pointe, palpitant sous mes touches.
J'essaie de le contenir entier entre mes lèvres ;
Son grain prêt à bondir, sous l'effet de ma fiè ...

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vos fruits (Paul Valery)


De vos fruits, Jeanne, amande, pèche ou fraise,
On sait la tendre et puissante saveur :
Ils sont de ceux gonflés de ta saveur
Qu'on presse, on croque, on suce, on boit, on baise.

Le jus Tendresse et puis le suc Amour
Tandis que l'âme avec l'âme roucoule,
Des fruits pressés, l'un jaillit, l'autre coule,
Et l'autre et l'un, dans ton soyeux séjour.

Tout est bon, tout se mange
Dans cette Jeanne étrange,
Et d'abord et toujours
La bouche à langue tendre
Où l'âme vient apprendre
Le goût de tes amours.

Paul Valery
vos fruits (Paul Valery) (E)
De vos fruits, Jeanne, amande, pèche ou fraise,
On sait la tendre et puissante saveur :
Ils sont de ceux gonflés de ta saveur
Qu'on presse, on croque, on suce, on boit, on baise.

Le jus Tendresse et puis l ...

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tu te pâmes


Ta poitrine m'est offerte
je ne reste point inerte
devant tant de beauté
à caresser, lécher, sucer !

J'y met toute mon âme
et tu te pâmes
agrippant mes cheveux
sensuel aveux...
tu te pâmes (E)
Ta poitrine m'est offerte
je ne reste point inerte
devant tant de beauté
à caresser, lécher, sucer !

J'y met toute mon âme
et tu te pâmes
agrippant mes cheveux
sensuel aveux. ...

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ma gorge (jadeaust)


pourquoi sautes-tu sur mes seins,
Chaque fois que tu vois,ma gorge sans soutien ?
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J'adore ton gros sein, qui coule dans ma bouche.
Je peux sentir son point, palpitant sous mes touches.
J'essaie de le contenir entier entre mes lèvres ;
Son grain prêt à bondir, sous l'effet de ma fièvre.
Sucer son élixir, c'est la joie de mon œuvre...
Lécher leurs tours fragiles, l'auréole pudique,
Par des suçons futiles,s'éclatant en musique...
J'aime passer ma main sur ton corps en velours,
Le plaisir sexuel que tu sens de ce fait
Répand en toi l'orgasme et te réjouit de près.
Et des mots de plaisir enrouent ta tendre voix,
Enrobée de désirs et d'actes qui me noient

jadeaust
ma gorge (jadeaust) (E)
pourquoi sautes-tu sur mes seins,
Chaque fois que tu vois,ma gorge sans soutien ?
------------------------------------
J'adore ton gros sein, qui coule dans ma bouche.
Je peux sentir son point, palpitant sous mes touches. ...

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Votre poitrine m'est offerte
je ne reste point inerte
devant tant de beauté
à caresser, à embrasser !

J'y met toute mon âme
et vous vous pâmez
agrippant mes cheveux
sensuel aveux...
(E)
Votre poitrine m'est offerte
je ne reste point inerte
devant tant de beauté
à caresser, à embrasser !

J'y met toute mon âme
et vous vous pâmez
agrippant mes cheveux
sensuel a ...

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je ne reste point inerte


Votre poitrine m'est offerte, je ne reste point inerte
devant tant de beauté à caresser, à embrasser !
J'y met toute mon âme et vous vous pâmez
agrippant mes cheveux, sensuel aveux...

Ce beau sein sur ma bouche, qu'il est pur !
Ce bouton que je touche, qu'il est dur !
Ah ! laissez-moi descendre au-dessous;
Laissez-moi vous surprendre ... m'aimez-vous ?
je ne reste point inerte (E)
Votre poitrine m'est offerte, je ne reste point inerte
devant tant de beauté à caresser, à embrasser !
J'y met toute mon âme et vous vous pâmez
agrippant mes cheveux, sensuel aveux...

Ce ...

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je ne reste point inerte


Votre poitrine m'est offerte, je ne reste point inerte
devant tant de beauté à caresser, à embrasser !
J'y met toute mon âme et vous vous pâmez
agrippant mes cheveux, sensuel aveux...
je ne reste point inerte (E)
Votre poitrine m'est offerte, je ne reste point inerte
devant tant de beauté à caresser, à embrasser !
J'y met toute mon âme et vous vous pâmez
agrippant mes cheveux, sensuel aveux...
...

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Que vos mains me fassent délicates caresses,
Sur mes seins fiers, qui de désir se dressent !
Des doigts de votre main, soulignez mes rondeurs.
Vos lèvres sur ma gorge, votre souffle dans mon cou.
Découvrez ma moiteur au creux de mes reins,
Pénétrez et volez mon trésor, jusqu'au petit matin !
Je veux votre regard éperdu au moment de l'orgasme,
votre verge gonflée de sève, que caresse mon vagin.
et qui se vide en jets multiples dans mon ventre,
les râles de plaisir dont souvent j'entends les échos
dans mes rêves solitaires
De jeune fille me faire femme,
De glace me faire flamme !

(E)
Que vos mains me fassent délicates caresses,
Sur mes seins fiers, qui de désir se dressent !
Des doigts de votre main, soulignez mes rondeurs.
Vos lèvres sur ma gorge, votre souffle dans mon cou.
D&eac ...

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La chemise qui te voilait


La chemise qui te voilait, Lasse enfin du rôle impudique
Que ta pudeur lui conseillait, A l'heure sainte et fatidique
S'est couchée à tes pieds d'enfant. Alors ta gorge de faunesse
M'est apparue et, triomphant, J'ai vu les splendeurs de jeunesse
Que ta chemise recélait. J'ai vu, sur ta poitrine nue,
Deux jumeaux, deux frères de lait, Enfants d'une belle venue.
Modernes, mais non décadents, Gonflant leur rigité ronde,
Sans l'aide des corsets prudents Sachant se tenir dans le monde ;
Marbre, satin, roc velouté, Ils résolvaient ce grand problème :
La douceur dans la fermeté, Dualité rare et suprême.
Dans l'amour du Bien et du Beau, Baisant leur pente éburnéenne
Du haut de ce double Nebo Une terre chananéenne
A déroulé devant mes yeux Ses campagnes riches et grasses,
Et je vous adresse un joyeux Cantique d'actions de grâces,
Hauteurs neigeuses où se fond L'ennui des steppes et des plaines,
Trésors somptueux qui me font Comme aux innocents les mains pleines.
Et lorsque, sur ta gorge en feu, Ma soif d'aimer se désaltère,
Je songe, en remerciant Dieu, Qu'ils n'en ont pas, en Angleterre !
La chemise qui te voilait (E)
La chemise qui te voilait, Lasse enfin du rôle impudique
Que ta pudeur lui conseillait, A l'heure sainte et fatidique
S'est couchée à tes pieds d'enfant. Alors ta gorge de faunesse
M'est apparue et, triomphan ...

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Mes seins, le matin… ( Arthémisia)


Ton regard têtu Aux blondeurs du matin
S’attarde encore requin Sur leur douceur repue.
Traînant l’iris aigu D’une gourmandise nue
Tu tends encore les mains Vers leurs formes charnues.

Tu palpes et interpelles Leurs rondeurs rebelles
Qui réagissent belles A ton tactile appel.
Enrobant, détourant Ces cercles vicieux,
Tu fais naître un élan Qui vient vers tes yeux.

Palpitants, arrogants, Ils se dressent vers toi,
Brandissant leur émoi, Bandant et réclamant,
Ce que ta bouche, enfin, Recueillera de salut,
Ces plénitudes sans fin Qui les portent aux nues.

Arthémisia
Mes seins, le matin… ( Arthémisia) (E)
Ton regard têtu Aux blondeurs du matin
S’attarde encore requin Sur leur douceur repue.
Traînant l’iris aigu D’une gourmandise nue
Tu tends encore les mains Vers leurs formes charnues.

Tu pa ...

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la gorge déjà basse (Charles Baudelaire)


Elle n’a que vingt ans, la gorge déjà basse
Pend de chaque côté comme une calebasse,
Et pourtant, me traînant chaque nuit sur son corps,
Ainsi qu’un nouveau-né, je la tette et la mords,

Et bien qu’elle n’ait pas souvent même une obole
Pour se frotter la chair et pour s’oindre l’épaule,
Je la lèche en silence avec plus de ferveur
Que Madeleine en feu les deux pieds du Sauveur.

Charles Baudelaire
la gorge déjà basse (Charles Baudelaire) (E)
Elle n’a que vingt ans, la gorge déjà basse
Pend de chaque côté comme une calebasse,
Et pourtant, me traînant chaque nuit sur son corps,
Ainsi qu’un nouveau-né, je la tette et ...

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des seins comme des violons (Pierre Perret)


Elle avait des seins comme des violons
Et moi j'en jouais comme du piston
Mes airs mélodieux faisaient jaillir de ses yeux ronds
De gros sanglots longs sur ses violons
Elle avait ses seins comme des oiseaux
Dès que je lui fracassais le museau
Mais dès qu'elle s'éloignait
De mes puissants pectoraux
Elle avait des seins comme des poireaux

Elle avait des seins comme des violons
Et je lui jouais le vol du bourdon
Elle battait des mains c'était la fête à la maison
Elle avait ses seins comme des lampions
Elle avait des seins comme des drapeaux
Patriotes et vaillants à l'assaut
On les voyait pour les fêtes de le libération
Qui claquaient au vent sur son balcon

Elle avait des seins comme des violons
Et chacun jouait sa partition
L'un prenait la mélodie l'autre le contre-chant
C'était un duo vraiment touchant
C'est ainsi que je suis devenu fou
Et qu'ils m'ont bouclé sous les verrous
J'ai dit au psychiatre quand il voulut savoir tout
Elle avait des seins partout partout

Pierre Perret
des seins comme des violons (Pierre Perret) (E)
Elle avait des seins comme des violons
Et moi j'en jouais comme du piston
Mes airs mélodieux faisaient jaillir de ses yeux ronds
De gros sanglots longs sur ses violons
Elle avait ses seins comme des oiseaux
D&egra ...

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Te (dé)vêtir (Paul Valery)


Te vêtir... Ô le paradoxe
Quand au contraire je ne veux
Pour l'amour et sa tendre boxe
Que ta parure de cheveux

C'est en vain que tu dérobes
Sous tous les plis que tu voudras
A la plus belle de tes robes
J'aime mieux le pli de tes draps.

Ôte-moi donc vite la gêne
De la souple et nerveuse gaine.

Paul Valery
Te (dé)vêtir (Paul Valery) (E)
Te vêtir... Ô le paradoxe
Quand au contraire je ne veux
Pour l'amour et sa tendre boxe
Que ta parure de cheveux

C'est en vain que tu dérobes
Sous tous les plis que tu voudras
A la plus belle d ...

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mes doigts (Renée Vivien)


Je possède, en mes doigts subtils, le sens du monde,
Car le toucher pénètre ainsi que fait la voix,
L'harmonie et le songe et la douleur profonde
Frémissent longuement sur le bout de mes doigts.

Je comprends mieux, en les frôlant, les choses belles,
Je partage leur vie intense en les touchant,
C'est alors que je sais ce qu'elles ont en elles
De noble, de très doux et de pareil au chant.

Car mes doigts ont connu la chair des poteries
La chair lisse du marbre aux féminins contours
Que la main qui les sait modeler a meurtries,
Et celle de la perle et celle du velours.

Ils ont connu la vie intime des fourrures,
Toison chaude et superbe où je plonge les mains!
Ils ont connu l'ardent secret des chevelures
Où se sont effeuillés des milliers de jasmins.

Et, pareils à ceux-là qui viennent des voyages.
Mes doigts ont parcouru d'infinis horizons,
Ils ont éclairé, mieux que mes yeux, des visages
Et m'ont prophétisé d'obscures trahisons.

Ils ont connu la peau subtile de la femme,
Et ses frissons cruels et ses parfums sournois...
Chair des choses! J'ai cru parfois étreindre une âme
Avec le frôlement prolongé de mes doigts...

Renée Vivien
mes doigts (Renée Vivien) (E)
Je possède, en mes doigts subtils, le sens du monde,
Car le toucher pénètre ainsi que fait la voix,
L'harmonie et le songe et la douleur profonde
Frémissent longuement sur le bout de mes doigts.

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Je les laisse entrevoir sous mon chemisier de soie
et mon décolleté insolent.
Ils reçoivent la douce caresse de ton regard amoureux,
Tu les caresses, tu agace leurs pointes,
et les fait se dresser pour mieux les masser.
Je sens tes mains émues pour de premières caresses ,
Je les sens se glisser sous ma lingerie de soie,
et monter doucement sans m'effaroucher,
Je les sens les presser, les soupèser, apprécier leur fermeté,
les pétrir délicatement comme des boules de pâte à pain
et les former à ton goût.
Je les sens s'emparer de leurs pointes dressées.
exhibés dans mon profond décolleté.
Je guette tes caresses frôleuses
et tes pinçons amicaux qui feront bientôt crisser la soie.

Que tes mains me fassent délicates caresses,
Sur mes seins fiers, qui de désir se dressent !
Connaître ta moiteur au creux de mes reins,
Pénétrer et voler mon trésor, jusqu'au petit matin !
De jeune fille me faire femme,
De glace me faire flamme !

(E)
Je les laisse entrevoir sous mon chemisier de soie
et mon décolleté insolent.
Ils reçoivent la douce caresse de ton regard amoureux,
Tu les caresses, tu agace leurs pointes,
et les fait se dresser po ...

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Que tes mains me fassent délicates caresses,
Sur mes seins fiers, qui de désir se dressent !
Connaître ta moiteur au creux de mes reins,
Pénétrer et voler mon trésor, jusqu'au petit matin !
De jeune fille me faire femme,
De glace me faire flamme !
(E)
Que tes mains me fassent délicates caresses,
Sur mes seins fiers, qui de désir se dressent !
Connaître ta moiteur au creux de mes reins,
Pénétrer et voler mon trésor, jusqu'au petit matin ...

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paire de tourterelles vivantes (Pierre Louys)


Avec soin, j'ai ouvert ma tunique
et t'ai présenté mes seins tièdes et doux,
ainsi qu'on offre à la déesse
une paire de tourterelles vivantes.
Aime-les bien, je les aime tant !
Ce sont des chéris, des petits enfants.
Je m'occupe d'eux quand je suis seule.
Je joue avec eux; je leur fais plaisir.
Je les lave avec du lait.
Je les poudre avec des fleurs.
Mes cheveux fins qui les essuient
sont chers à leurs petits bouts.
Je les caresse en frissonnant.
Je les couche dans de la laine.
Sois leur nourrisson, mon amour
et, puisqu'ils sont si loin de ma bouche,
donne-leur des baisers de ma part.

Pierre louys
paire de tourterelles vivantes (Pierre Louys) (E)
Avec soin, j'ai ouvert ma tunique
et t'ai présenté mes seins tièdes et doux,
ainsi qu'on offre à la déesse
une paire de tourterelles vivantes.
Aime-les bien, je les aime tant !
Ce sont ...

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J'aime la tendre caresse
de tes mains sur mes seins,
ton regard éperdu
au moment de l'orgasme,
ta verge gonflée de sève
qui enfle dans mon ventre,
lovée autour de ma vulve
mon vagin qui la serre
et la masse doucement.
les râles de plaisir
dont j'entends les échos
durant mes nuits solitaires.
(E)
J'aime la tendre caresse
de tes mains sur mes seins,
ton regard éperdu
au moment de l'orgasme,
ta verge gonflée de sève
qui enfle dans mon ventre,
lovée autour de ma vulve
mon v ...

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tes mains


Que tes mains me fassent délicates caresses,
Sur mes seins fiers, qui de désir se dressent !
Connaître ta moiteur au creux de mes reins,
Pénétrer et voler mon trésor, jusqu'au petit matin !
De jeune fille me faire femme,
De glace me faire flamme !
tes mains (E)
Que tes mains me fassent délicates caresses,
Sur mes seins fiers, qui de désir se dressent !
Connaître ta moiteur au creux de mes reins,
Pénétrer et voler mon trésor, jusqu'au petit matin ...

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On nous laisse entrevoir


Madame ... Couvrez ce sein, que je ne saurais voir.
Par de pareils objets les âmes sont blessées,
Et cela fait venir de coupables pensées

Moliere (Tartuffe)
On nous laisse entrevoir (E)
Madame ... Couvrez ce sein, que je ne saurais voir.
Par de pareils objets les âmes sont blessées,
Et cela fait venir de coupables pensées

Moliere (Tartuffe)
...

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On nous laisse entrevoir


Madame ... Couvrez ce sein, que je ne saurais voir.
Par de pareils objets les âmes sont blessées,
Et cela fait venir de coupables pensées

Moliere (Tartuffe)
On nous laisse entrevoir (E)
Madame ... Couvrez ce sein, que je ne saurais voir.
Par de pareils objets les âmes sont blessées,
Et cela fait venir de coupables pensées

Moliere (Tartuffe)
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Frisson


Que tes mains me fassent délicates caresses,
Sur mes seins fiers, qui de désir se dressent !
Des doigts de ta main, souligne mes rondeurs.
Effleures mon sein ! Qu'il gonfle sous tes caresses !
Donnes moi tes lèvres fraiches. Enflamme ma bouche
Tes lèvres sur ma nuque, ton souffle dans mon cou.
Frisson.
Frisson (E)
Que tes mains me fassent délicates caresses,
Sur mes seins fiers, qui de désir se dressent !
Des doigts de ta main, souligne mes rondeurs.
Effleures mon sein ! Qu'il gonfle sous tes caresses !
Donnes moi tes ...

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J'adore ton beau sein, qui coule dans ma bouche.
Je peux sentir sa pointe, palpitant sous mes touches.
J'essaie de le contenir entier entre mes lèvres ;
Son grain prêt à bondir, sous l'effet de ma fièvre.
Sucer son élixir, c'est la joie de mon œuvre...
(E)
J'adore ton beau sein, qui coule dans ma bouche.
Je peux sentir sa pointe, palpitant sous mes touches.
J'essaie de le contenir entier entre mes lèvres ;
Son grain prêt à bondir, sous l'effet de ma fi&egrav ...

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tant de beauté


Ta poitrine m'est offerte
je ne reste point inerte
devant tant de beauté
à caresser, lécher, sucer !
J'y met toute mon âme
et tu te pâmes
sensuel aveu...
tant de beauté (E)
Ta poitrine m'est offerte
je ne reste point inerte
devant tant de beauté
à caresser, lécher, sucer !
J'y met toute mon âme
et tu te pâmes
sensuel aveu...
...

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Que tes mains me fassent délicates caresses,
Sur mes seins fiers, qui de désir se dressent !
Des doigts de ta main, souligne mes rondeurs.
Effleures mon sein ! Qu'il gonfle sous tes caresses !
Donnes moi tes lèvres fraiches. Enflamme ma bouche
Tes lèvres sur ma nuque, ton souffle dans mon cou.
Frisson.
(E)
Que tes mains me fassent délicates caresses,
Sur mes seins fiers, qui de désir se dressent !
Des doigts de ta main, souligne mes rondeurs.
Effleures mon sein ! Qu'il gonfle sous tes caresses !
Donnes moi tes ...

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les seins


Ils se laissent entrevoir sous des chemisiers de soie ou d'insolents décolletés.
Ils recoivent la douce caresse du regards des hommes, pleins d'envie.
Ils se laissent approcher par les mains émues des hommes pour de premières caresses ,
les mains se glissent sous le pull, et montent doucement sans les effaroucher,
les prennent pour les presser, les soupèser, apprécier leur fermeté,
les pétrir délicatement comme des boules de pâte à pain et les former à leur goût.
laisser les mains s'emparer de leurs pointes dressées.
On les caressent, les parfument, les poudrent.
On agace leurs pointes, on les fait se dresser pour mieux les pétrir.
de beaux seins exhibés dans de profonds décolletés, à faire crisser la soie.
les seins (E)
Ils se laissent entrevoir sous des chemisiers de soie ou d'insolents décolletés.
Ils recoivent la douce caresse du regards des hommes, pleins d'envie.
Ils se laissent approcher par les mains émues des hommes p ...

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On nous laisse entrevoir
sous des chemisiers de soie
ou des décolletés insolents.
On recoit la douce caresse
des regards des hommes,
et ceux des femmes, pleins d'envie.
On nous caresse, nous parfume, nous poudre.
On agace nos pointes,
on les fait se dresser
pour mieux les masser.
sentir approcher les mains émues
des hommes pour de premières caresses ,
les sentir se glisser sous le pull,
et monter doucement sans nous effaroucher,
les sentir nous presser,
nous soupèser, apprécier notre fermeté,
nous pétrir délicatement
comme des boules de pâte à pain
et nous former à leur goût.
les sentir s'emparer de nos pointes dressées.
exhibés dans de profonds décolletés.
Nous guettons les caresses frôleuses
et les pinçons amicaux
qui feront bientôt crisser la soie.
(E)
On nous laisse entrevoir
sous des chemisiers de soie
ou des décolletés insolents.
On recoit la douce caresse
des regards des hommes,
et ceux des femmes, pleins d'envie.
On nous caresse, nous parfu ...

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Ma main cherche ton sein qui se tend et se dresse
Sous ce tissu léger de soie ou de satin …

Je ne te veux encore qu'à peine dévêtue,
Juste un peu de désordre semé à tes atours.
Ce n'est qu’un peu plus tard que je te verrai nue,
Si douce est cette attente qui précède l'Amour !

Ton corsage est ouvert sur tes formes divines,
Ta jupe est remontée au plus haut qui se puisse.
Ma bouche, tour à tour, prend tes pointes mutines,
Tandis que de ta main, tu me guides à ta cuisse.

Durant un long baiser où se cherchent nos langues,
Tes jambes lentement, s'ouvrent à mes caresses.
Il n'est pas temps encore d’aller à ce triangle,
Il nous faut prolonger l'attente de l'ivresse.

De mes doigts je te frôle, sur cette peau si douce,
A quelques millimètres de ce velours intime,
Tournant et retournant sans que je ne le touche,
Amenant nos désirs au point le plus ultime
(E)
Ma main cherche ton sein qui se tend et se dresse
Sous ce tissu léger de soie ou de satin …

Je ne te veux encore qu'à peine dévêtue,
Juste un peu de désordre semé à tes ...

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à pas de loup


Le sein est soyeux, mes doigts se font dentelle,
effleurent à pas de loup les pointes au bout dur et nacré.
mes doigts s'immiscent, glissent sur le côté,
arpentent par l'arrière.
se font onctueux pour mieux remonter.
Coup de chaleur.
à pas de loup (E)
Le sein est soyeux, mes doigts se font dentelle,
effleurent à pas de loup les pointes au bout dur et nacré.
mes doigts s'immiscent, glissent sur le côté,
arpentent par l'arrière.
se font ...

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rouages précieux (Aimé Césaire)


De ton corps farineux
où pompe l'huile acajou
des rouages précieux
de tes yeux à marées
de ton sexe à crocus
de ton corps de ton sexe
serpents nocturnes de fleuves et de cases
de ton sexe de sabre de général
de l'horlogerie astronomique
de ton sexe à venin
de ton corps de mil
de miel de pilon de pileuse
d'Attila de l'an mil casqué
des algues de l'amour et du crime

Aimé Cesaire
rouages précieux (Aimé Césaire) (E)
De ton corps farineux
où pompe l'huile acajou
des rouages précieux
de tes yeux à marées
de ton sexe à crocus
de ton corps de ton sexe
serpents nocturnes de fleuves et de cases ...

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tendre caresse


J'aime la tendre caresse de tes mains sur mes seins,
ton regard éperdu au moment de l'orgasme,
ta verge gonflée de sève, que caresse mon vagin.
et qui se vide en jets multiples dans mon ventre,
les râles de plaisir dont souvent j'entends les échos
dans mes rêves solitaires


J'aime la tendre caresse d'un homme sur mes seins,
son regard éperdu au moment de l'orgasme,
sa verge gonflée de sève qui se vide dans mon ventre,
mon vagin qui la serre et la masse doucement.
les râles de plaisir dont souvent j'entends les échos
dans mes rêves solitaires
tendre caresse (E)
J'aime la tendre caresse de tes mains sur mes seins,
ton regard éperdu au moment de l'orgasme,
ta verge gonflée de sève, que caresse mon vagin.
et qui se vide en jets multiples dans mon ventre,
les r ...

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tendre caresse de tes mains


J'aime la tendre caresse de tes mains sur mes seins,
ton regard éperdu au moment de l'orgasme,
ta verge gonflée de sève, que caresse mon vagin.
et qui se vide en jets multiples dans mon ventre,
les râles de plaisir dont souvent j'entends les échos
dans mes rêves solitaires


J'aime la tendre caresse d'un homme sur mes seins,
j'aime ses mains douces sur ma peau
son regard éperdu au moment de l'orgasme,
sa verge gonflée de sève qui se vide dans mon ventre,
mon vagin qui la serre et la masse doucement.
les râles de plaisir dont j'entends les échos.
tendre caresse de tes mains (E)
J'aime la tendre caresse de tes mains sur mes seins,
ton regard éperdu au moment de l'orgasme,
ta verge gonflée de sève, que caresse mon vagin.
et qui se vide en jets multiples dans mon ventre,
les r ...

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Rondeurs exquises (Christian Bailly)


Rondeurs exquises, Généreuses et pommelées,
Comme j'ai envie de vous croquer !
Rondeurs épanouies, Étroitement jumelées,
Que cachez-vous à mes yeux indiscrets ?
Secret affriolant, Entre affolantes rondeurs,
Émoustille la curiosité de mes ardeurs.
Angélique rondeurs, Ce mystère dissimulé,
Trouve grâce à mes yeux de débauché.
Rondeurs innocentes, Libérez, de grâce,
Cette place-forte à la candeur fugace !
Rondeurs indociles, Faut-il que je vous fesse,
Pour vous imposer mes largesses ?
Rondeurs effarouchées, Soyez charitables,
Les douleurs seront supportables…
Rondeurs complaisantes, Voyez mes délicatesses,
Pour faire de vous dociles pécheresses.
Rondeurs accueillantes, À vous, ma virile prestance,
Découvrez cette nouvelle expérience.
Rondeurs chaleureuses, Dans votre enclave, la lave,
De votre fervent et magnanime esclave.
Rondeurs radieuses, Aux soupirs convaincus,
À ce doux martyr, vous avez survécu.
Rondeurs conquises, Votre aimable instructeur,
À jamais, sera votre dévoué serviteur.

Christian Bailly
Rondeurs exquises (Christian Bailly) (E)
Rondeurs exquises, Généreuses et pommelées,
Comme j'ai envie de vous croquer !
Rondeurs épanouies, Étroitement jumelées,
Que cachez-vous à mes yeux indiscrets ?
Secret affriol ...

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Caresse-moi (Bertino le Pascalois)


Caresse-moi de tes chaudes mains
Donne-moi des frissons, fais-moi rêver
Dans mon âme et jusqu’ au bas de mes reins
Fais-moi vibrer et trembler
Caresse-moi, oh! Mon charnel corps
Réveille chez moi des sentiments déments
Réveille mes sens endormis et morts
Fais moi croire que tu m`aimes vraiment
Caresse-moi, de tes mains, de tes regards
Fais-moi tendre mes muscles, mes nerfs
Comme les cordes d’une cithare endiablée
Que mon souffle chante comme une sirène
Caresse-moi, jusqu’au bout de mes fantasmes
Caresse-moi pour que je sache enfin
Que tendresse et passion ne sont pas mortes
Caresse-moi de grâce…
Fais couler l`huile de l`amour dans mon corps
Caresse-moi...de tes mains habiles
Fais-moi transcender, jusqu’ au creux de mes reins …

Bertino le Pascalois



Caressez-moi de vos chaudes mains
Donnez-moi des frissons, faites-moi rêver
Dans mon âme et jusqu’ au bas de mes reins
Faites-moi vibrer et trembler
Caressez-moi, oh! Mon charnel corps
Réveillez chez moi des sentiments déments
Réveillez mes sens endormis et morts
Faites moi croire que vous m`aimez vraiment
Caressez-moi, de vos mains, de vos regards
Faites-moi tendre mes muscles, mes nerfs
Comme les cordes d’une cithare endiablée
Que mon souffle chante comme une sirène
Caressez-moi, jusqu’au bout de mes fantasmes
Caressez-moi pour que je sache enfin
Que tendresse et passion ne sont pas mortes
Caressez-moi de grâce…
Faites couler l`huile de l`amour dans mon corps
Caressez-moi...de vos mains habiles
Faites-moi transcender, jusqu’ au creux de mes reins …

Bertino le Pascalois
Caresse-moi (Bertino le Pascalois) (E)
Caresse-moi de tes chaudes mains
Donne-moi des frissons, fais-moi rêver
Dans mon âme et jusqu’ au bas de mes reins
Fais-moi vibrer et trembler
Caresse-moi, oh! Mon charnel corps
Réveille chez m ...

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Sa voix est une main qui caresse mes entrailles,
un vent qui se déploie de murmure en tempête.
Je l’aime.
Il caresse mon corps de ses deux yeux brillants.
Il m’étend sur un lit de velours et de soies,
à la lumière de bougies exhalant le santal.
Il glisse entre mes jambes une main chaude et froide.
Il dessine sur ma peau des oiseaux, des cascades,
Il souffle des orages sur les méandres de mes veines,
Il fait porter ma voix plus loin que le ciel.
Il m’aime.
Il serre nos corps jusqu’à la douleur.
Il dessine dans le vide des arabesques d’or.
Le sol, le tapis, deviennent un champ immense
où sa voix me fait l’amour entre un cri et un soupir…
Je l’aime.
Il me mord, entre en moi comme un loup à l'affut.
Il cambre mon corps à la fureur du sien
et nos deux voix s’épousent. Il me souffle des mots crus
et allume des incendies qu’il s’empresse d’éteindre.
Il attise la faim que mon ventre conçoit pour le sien.
Il remonte mes jambes
et des feux d’artifices sillonnent notre ciel.
Il m’aime.
Il se glisse dans mon dos et prend mes seins en mains,
Il me parle des étoiles, de la magie du ciel.
Il s’appuie contre moi pour me faire sentir son desir,
Il se penche sur ma nuque et se glisse dans mon ventre.
Il me fouille de sa langue, il m’explore de ses doigts.
Il se glisse sur moi, je l’embrasse, le caresse.
Ses gémissements m’excitent,
J’aime l’éclat de ses yeux quand il me desire.
Je sens leur chaleur aux endroits qu’ils effleurent.
Il remonte ma robe, la remonte encore,
et se glisse dans mon ventre.
J’aime.
son sexe dans le mien, sa peau sur la mienne
jusqu’à ne plus savoir où commence son corps
et où finit le mien.
Je l’aime et plus j’y pense, plus mon cœur brûle.
Il s’enfonce en moi et le monde disparaît,
bout de chair durci qui va et vient dans mon ventre
ses doigts qui me fouillent, sa langue,
ses mains qui me frôlent, pincent, griffent, s’agrippent,
sa bouche qui m’embrasse,
me mord et toujours me fait gémir.
Il y a son parfum sur ma peau
et le poids de son désir dans mon ventre.
La nuit est mon histoire, ma délivrance.
Il m’aime.
(E)
Sa voix est une main qui caresse mes entrailles,
un vent qui se déploie de murmure en tempête.
Je l’aime.
Il caresse mon corps de ses deux yeux brillants.
Il m’étend sur un lit de velours ...

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Qui lavera vos seins


Qui lavera vos seins magnifiques, maîtresse ?
Quelle main lascive épongera leur splendeur
D’un geste délicat, lent comme une caresse
À les faire exulter de joie et d’impudeur ?

Quel lait de quelle biche qui ne les salisse ?
Quelle douceur de doigt qui ne heurte leur grain
Sera-ce votre lait, ô chère ? et votre main,
Qui laveront ce soir leur virginité lisse ?

Lavez-les bien, vos seins ; lavez-les, vos seins blancs
Promenez vos doigts fins sur leurs globes tremblants
Et pénétrez-les d’éblouissante lumière

Afin qu’en vos cheveux dont la noirceur reluit
Ils brillent dans leur sérénité coutumière,
Lunes de clarté nue au torse de la Nuit.

Pierre Louys
Qui lavera vos seins (E)
Qui lavera vos seins magnifiques, maîtresse ?
Quelle main lascive épongera leur splendeur
D’un geste délicat, lent comme une caresse
À les faire exulter de joie et d’impudeur ?

Qu ...

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couvrez ce sein (Moliere - Tartuffe)


Madame, couvrons ce sein, que je ne saurais voir.
Par de pareils objets les âmes sont blessées,
Et cela fait venir de coupables pensées

d'apres Moliere (Tartuffe)
couvrez ce sein (Moliere - Tartuffe) (E)
Madame, couvrons ce sein, que je ne saurais voir.
Par de pareils objets les âmes sont blessées,
Et cela fait venir de coupables pensées

d'apres Moliere (Tartuffe) ...

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vos chaudes mains


Caressez-moi de vos chaudes mains
Donnez-moi des frissons, faites-moi rêver
Dans mon âme et jusqu’au bas de mes reins
Faites-moi vibrer et trembler
Caressez-moi, oh! Mon charnel corps
Réveillez chez moi des sentiments déments
Réveillez mes sens endormis et morts
Fait moi croire que vous m`aimez vraiment
Caressez-moi, de vos mains, de vos regards
Faites-moi tendre mes muscles, mes nerfs
Comme les cordes d’une cithare endiablée
Que mon souffle chante comme une sirène
Caressez-moi, jusqu’au bout de mes fantasmes
Caressez-moi pour que je sache enfin
Que tendresse et passion ne sont pas mortes
Caresse-moi de grâce…
Fait couler l`huile de l`amour dans mon corps
Caressez-moi...de vos mains habiles
Faites-moi transcender, jusqu’ au creux de mes reins …

Bertino le Pascalois
vos chaudes mains (E)
Caressez-moi de vos chaudes mains
Donnez-moi des frissons, faites-moi rêver
Dans mon âme et jusqu’au bas de mes reins
Faites-moi vibrer et trembler
Caressez-moi, oh! Mon charnel corps
Réveillez ...

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courbes (Marvin)


Sur ton sein lisse et doux ma main cherche à l’envie
A devenir la prose que ta langue me crie.
Les courbes de ton corps m’arrachent à l’ennui
Du verbe qui s’endort et de la chair flétrie.
Sur ton regard de braise qui flambe et se trahit
Je souffle en criminel pour attiser mon vit.
L’alexandrin m’entraîne vers tes hanches gourmandes
Et plus rien ne me freine c’est mon cerveau qui bande.
Ta descente de rein est un creuset immense
Pour le poète enclin à lâcher sa semence.

Marvin
courbes (Marvin) (E)
Sur ton sein lisse et doux ma main cherche à l’envie
A devenir la prose que ta langue me crie.
Les courbes de ton corps m’arrachent à l’ennui
Du verbe qui s’endort et de la chair flét ...

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le soyeux de ta peau (Sweetgen)


Grain satin et soyeux de ta peau
me donnent frissons, douceur exquise.
Quand mes mains, ma langue, ma bouche,
de ton corps proie soumise,
se repaissent à ne plus faim !
Découvrir tes endroits les plus secrets,
endroits interdits aux étrangers.
Tu es ma Terre, je suis ton roi,
prêts à querelle si l'on t'ôte à moi.
Tes courbes sont comme océans et mers à dompter,
telle une Armada je m'y lance à naviguer.
Mouvements de tes hanches, comme flots déchaînés,
m'enfoncent en toi, pour m'y noyer.
Découvrir tes endroits les plus secrets,
endroits interdits aux étrangers.
Tu es la Mer, je suis ton roi,
comme Poseidon vivant en toi.
A ta fontaine d'Amour je veux m'arrêter,
pour y déposer un doux et long baiser.
Y assouvir ma soif de désir,
en buvant ton hydromel du jouir.
Découvrir tes endroits les plus secrets,
endroits interdits aux étrangers.
Tu es fontaine de l'Amour,
je m'y baigne comme aux beaux jours... Mon Amour.

sweetgen
le soyeux de ta peau (Sweetgen) (E)
Grain satin et soyeux de ta peau
me donnent frissons, douceur exquise.
Quand mes mains, ma langue, ma bouche,
de ton corps proie soumise,
se repaissent à ne plus faim !
Découvrir tes endroits les plus ...

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les désirs de ton roi


Viens ici, et soumets toi aux désirs de ton roi.
Viens goûter aux caresses,
celles de mes mains parcourant tes formes de déesse,
de tes gracieuses épaules à tes jolies fesses,
suivant tes courbes invitantes, séduisantes, appétissantes,
pétrissant tes seins généreux de femme fecondée,
flattant ton ventre volumineux que l’on sent frémir.
Suivant la courbe du dos ou remontant les cuisses,
atteindre ce paradis luxurieux, théâtre de plaisirs délicieux.
Pouvoir profiter d’un séant à la chair généreuse,
d’une rondeur si exquise, au temple rose affriolant,
aux lèvres vaginales béantes et pendantes,
comme des portes ouvertes invitantes.

Laisse ton maître prendre soin de toi,
laisse ton corps profiter des bontés de ton roi.
Bien calée dans mes gros oreillers,
remonte ta croupe et laisse moi te penetrer,
Laisse mon dard te butiner, ma belle fleur adorée.
Quel délice, de sentir ta croupe se chauffer, se mouiller,
vibrer, frémir de plaisir. Te faire jouir avant de t’envahir.

Étendue sur mon lit, enlève ta robe de soie.
Cesse de frotter ta vulve, donne la moi.
Laisse moi entrer dans ta jungle humide
reçois mon membre en érection, en ébullition,
fièrement dressé, prêt pour sa mission: inonder ta grande vallée.
Jouons de nos sexes, mélangeons nos fluides.
Fais plaisir à ton roi, écarte tes cuisses humides, que j’entre en toi.
De grands frissons te parcourent,
ton corps me demande de lui faire l’amour,
jusqu’au petit jour.
Ta croupe, de champagne pétillant bien arrosée,
tes orifices mouillés, dans tes trésors de jouissance je vais glisser.

Cris, gémis, je veux entendre ta voix,
les louanges de tes plaisirs procurés par ton roi.
Tu le sens qui te chatouille le ventre, mon sexe chaud ?
Je veux jouir en toi, ton corps est si beau.
Collé entre de tes chaudes cuisses,
repliées entre les miennes, le bélier glisse,
membre viril qui se délecte dans ton sillon refermé.
Il se fait délicieusement chatouiller,
frottant entre tes dunes comprimées.
ma verge te brûle les entrailles, t’empale sans demi mesure.
Dans ton trou je me suis vidé. Dans ta croupe, un joyeux festin.
Tu as été gentille, laisse-moi défaire tes liens.
les désirs de ton roi (E)
Viens ici, et soumets toi aux désirs de ton roi.
Viens goûter aux caresses,
celles de mes mains parcourant tes formes de déesse,
de tes gracieuses épaules à tes jolies fesses,
suivant te ...

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mes appats


Vous faites éclore mon buste degageant mes appats.
vos yeux brillent de desir devant mon corps nu.
Vous effleurez mon sein qui gonfle sous vos caresses,
Nous nous observons de sublimes instants,
désireux de savoir qui fera chavirer l'autre.
mes appats (E)
Vous faites éclore mon buste degageant mes appats.
vos yeux brillent de desir devant mon corps nu.
Vous effleurez mon sein qui gonfle sous vos caresses,
Nous nous observons de sublimes instants,
désireux de ...

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Le bruissement de tes doigts


Le bruissement de tes doigts sur ma peau
Et ce désir qui monte en murmurant ton nom
Un désir infini bien au delà des mots
Un désir insensé au-delà des raisons

Il envahit mon corps et brûle dans mes veines
Il coule entre mes cuisses en lentes traînées de feu
Il me coupe le souffle et je respire à peine
Et j'entrouvre la bouche et je ferme les yeux

Le désir est puissant et j'en ai presque mal
Je veux tes mains sur moi, ta peau contre ma peau,
Je veux sentir en toi un désir animal
Aussi fort que le mien, aussi grand, aussi beau

Je te ferai l'amour, je me ferai tendresse
Tu te feras amour tu me feras passion
Et nous ferons l'amour à en mourir d'ivresse
A en mourir d'amour jusqu'à la déraison.
Le bruissement de tes doigts (E)
Le bruissement de tes doigts sur ma peau
Et ce désir qui monte en murmurant ton nom
Un désir infini bien au delà des mots
Un désir insensé au-delà des raisons

Il envahit mon ...

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Douce et ingénue


Douce et ingénue Tu te mets à nue
Offrant à ma vue Tes seins de poupée
Toi qui es si belle Tu te fais rebelle
Et tu étincelles Te fais désirer

Tu cours tu t’envoles Et à jupon vole
Dans les herbes folles Et les champs de blé
Tu deviens Oh drame ! Un brasier en flamme
Et tu me condamnes A l’éternité

Oui je le confesse Que dans mes ivresses
Et mes maladresses Parfois polisson
Tu es si agile Pour mettre en péril
Mon coeur si fragile De mauvais garçon

Et si ce soir j’ose A travers ma prose
Dévoiler la cause De tout mon émoi
Sache donc madame Que mon cœur s’enflamme
Transperçant mon âme Quand je pense à toi
Douce et ingénue (E)
Douce et ingénue Tu te mets à nue
Offrant à ma vue Tes seins de poupée
Toi qui es si belle Tu te fais rebelle
Et tu étincelles Te fais désirer

Tu cours tu t’envoles Et &a ...